Le coordonnateur national de la Convergence des jeunesses républicaines (COJER), Moussa Sow, est monté au créneau ce mercredi pour dénoncer ce qu’il qualifie de dérive institutionnelle. Dans une déclaration publique, il a fermement critiqué l’initiative du député Guy Marius Sagna, qui envisage de soumettre une résolution de mise en accusation de l’ancien président Macky Sall devant la Haute Cour de justice.
« Ce que nous vivons en ce moment, à travers les agitations politiciennes d’un régime aux abois, n’est pas un simple épisode politique », a-t-il déclaré. « C’est une tentative flagrante de dérive institutionnelle et d’atteinte grave au vivre-ensemble légué par nos ancêtres », a-t-il insisté.
Moussa Sow a mis en garde contre une « instrumentalisation du parlement à des fins de règlement de comptes personnels ». Il a accusé le député Guy Marius Sagna d’user d’une posture « populiste et démagogique », affirmant que les allégations de « dettes cachées » à l’encontre de l’ancien président ne sont en aucun cas fondées juridiquement.
« En aucune manière, et nos lois m’y confortent, le prétexte trouvé, qui reste non certifié par la Cour des comptes, n’est nullement constitutif de haute trahison », a-t-il soutenu. À ses yeux, cette tentative de mise en accusation n’est qu’« une opération de diversion », visant à masquer « l’échec prématuré d’une coalition politique hétéroclite, sans projet, déboussolée ».
Fidèle à l’ancien président, Moussa Sow a salué le bilan de Macky Sall qu’il a qualifié de « digne et efficace ». « Le Président Macky Sall a servi le Sénégal avec honneur, dignité et efficacité », a-t-il affirmé, évoquant notamment « le BRT, le TER, les autoroutes, la diplomatie rayonnante » comme preuves tangibles de son action à la tête de l’État.
Il a averti les nouvelles autorités contre toute tentative de « diabolisation » de leurs adversaires politiques. « Pendant que les nouvelles autorités s’égarent dans des procédures spectaculaires et stériles, le peuple attend des réponses concrètes à ses souffrances », a-t-il mis en garde.
Appelant la jeunesse à la vigilance, il a estimé que « la jeunesse sénégalaise ne sera pas complice de cette entreprise dangereuse et potentiellement porteuse de déstabilisation de la cohésion sociale ».
Dans un ton plus solennel, il a conclu : « Oui à la justice, mais non à la culture de la vengeance personnelle avec les moyens de tous. Oui au Sénégal. Non à la division.»
« Ce que nous vivons en ce moment, à travers les agitations politiciennes d’un régime aux abois, n’est pas un simple épisode politique », a-t-il déclaré. « C’est une tentative flagrante de dérive institutionnelle et d’atteinte grave au vivre-ensemble légué par nos ancêtres », a-t-il insisté.
Moussa Sow a mis en garde contre une « instrumentalisation du parlement à des fins de règlement de comptes personnels ». Il a accusé le député Guy Marius Sagna d’user d’une posture « populiste et démagogique », affirmant que les allégations de « dettes cachées » à l’encontre de l’ancien président ne sont en aucun cas fondées juridiquement.
« En aucune manière, et nos lois m’y confortent, le prétexte trouvé, qui reste non certifié par la Cour des comptes, n’est nullement constitutif de haute trahison », a-t-il soutenu. À ses yeux, cette tentative de mise en accusation n’est qu’« une opération de diversion », visant à masquer « l’échec prématuré d’une coalition politique hétéroclite, sans projet, déboussolée ».
Fidèle à l’ancien président, Moussa Sow a salué le bilan de Macky Sall qu’il a qualifié de « digne et efficace ». « Le Président Macky Sall a servi le Sénégal avec honneur, dignité et efficacité », a-t-il affirmé, évoquant notamment « le BRT, le TER, les autoroutes, la diplomatie rayonnante » comme preuves tangibles de son action à la tête de l’État.
Il a averti les nouvelles autorités contre toute tentative de « diabolisation » de leurs adversaires politiques. « Pendant que les nouvelles autorités s’égarent dans des procédures spectaculaires et stériles, le peuple attend des réponses concrètes à ses souffrances », a-t-il mis en garde.
Appelant la jeunesse à la vigilance, il a estimé que « la jeunesse sénégalaise ne sera pas complice de cette entreprise dangereuse et potentiellement porteuse de déstabilisation de la cohésion sociale ».
Dans un ton plus solennel, il a conclu : « Oui à la justice, mais non à la culture de la vengeance personnelle avec les moyens de tous. Oui au Sénégal. Non à la division.»

