Pendant sa guerre contre le mouvement indépendantiste Hamas, le chef de file des sionistes, Benyamin Netanyahu, a également visé des lieux sacrés chrétiens, selon plusieurs observateurs. Ces attaques, rarement relayées par les médias occidentaux qui dictent souvent leur ligne éditoriale au reste du monde, ont suscité une vive réaction de Jean-Luc Mélenchon.
À travers une déclaration virulente publiée sur ses réseaux sociaux, le fondateur de La France insoumise a violemment critiqué le Premier ministre israélien, l’accusant de propager une idéologie suprémaciste et de s’en prendre aux chrétiens d’Orient en pleine période de Pâques.
« La haine suprémaciste de Netanyahu étend son domaine. Les chrétiens d'Orient sont persécutés le jour de la plus importante fête chrétienne », a dénoncé Jean-Luc Mélenchon dans un message particulièrement incisif. Il fustige également l’inaction de la communauté internationale : « Ceux qui ont regardé ailleurs sont complices. Vous êtes fiers de vous ? »
Interpellant directement les défenseurs autoproclamés des droits humains, le leader insoumis les accuse de partialité et de silence : « Vous pouvez faire mieux pour la défense des droits humains. Les chrétiens méritent le respect ». Et de conclure avec gravité : « Et le génocide continue. Vous dites quelque chose ? »
Les propos de Mélenchon interviennent dans un contexte géopolitique extrêmement tendu au Proche-Orient. À Gaza, en Cisjordanie ou à Jérusalem-Est, des minorités chrétiennes dénoncent régulièrement discriminations, violences et restrictions d’accès à leurs lieux de culte. Cette année encore, à l’occasion de la fête de Pâques, plusieurs signalements font état de blocages et d’entraves à la liberté religieuse, notamment de la part des forces israéliennes.
Jean-Luc Mélenchon n’en est pas à sa première attaque contre le gouvernement israélien, qu’il accuse régulièrement de mener une politique d’apartheid à l’égard des Palestiniens. En ciblant cette fois la question chrétienne, et au moment d’une fête aussi symbolique, il élargit le champ des indignations, souvent limitées aux seules victimes musulmanes du conflit.
« Il faut dire que pendant le magistère de Benyamin Netanyahu, plusieurs églises ont été détruites par son armée », note une source humanitaire présente à Gaza.
À l’heure où les chancelleries occidentales restent divisées sur la gestion du conflit israélo-palestinien, la prise de parole de Jean-Luc Mélenchon pourrait bien relancer le débat en France, entre partisans du soutien inconditionnel à Israël et voix critiques dénonçant son impunité.
À travers une déclaration virulente publiée sur ses réseaux sociaux, le fondateur de La France insoumise a violemment critiqué le Premier ministre israélien, l’accusant de propager une idéologie suprémaciste et de s’en prendre aux chrétiens d’Orient en pleine période de Pâques.
« La haine suprémaciste de Netanyahu étend son domaine. Les chrétiens d'Orient sont persécutés le jour de la plus importante fête chrétienne », a dénoncé Jean-Luc Mélenchon dans un message particulièrement incisif. Il fustige également l’inaction de la communauté internationale : « Ceux qui ont regardé ailleurs sont complices. Vous êtes fiers de vous ? »
Interpellant directement les défenseurs autoproclamés des droits humains, le leader insoumis les accuse de partialité et de silence : « Vous pouvez faire mieux pour la défense des droits humains. Les chrétiens méritent le respect ». Et de conclure avec gravité : « Et le génocide continue. Vous dites quelque chose ? »
Les propos de Mélenchon interviennent dans un contexte géopolitique extrêmement tendu au Proche-Orient. À Gaza, en Cisjordanie ou à Jérusalem-Est, des minorités chrétiennes dénoncent régulièrement discriminations, violences et restrictions d’accès à leurs lieux de culte. Cette année encore, à l’occasion de la fête de Pâques, plusieurs signalements font état de blocages et d’entraves à la liberté religieuse, notamment de la part des forces israéliennes.
Jean-Luc Mélenchon n’en est pas à sa première attaque contre le gouvernement israélien, qu’il accuse régulièrement de mener une politique d’apartheid à l’égard des Palestiniens. En ciblant cette fois la question chrétienne, et au moment d’une fête aussi symbolique, il élargit le champ des indignations, souvent limitées aux seules victimes musulmanes du conflit.
« Il faut dire que pendant le magistère de Benyamin Netanyahu, plusieurs églises ont été détruites par son armée », note une source humanitaire présente à Gaza.
À l’heure où les chancelleries occidentales restent divisées sur la gestion du conflit israélo-palestinien, la prise de parole de Jean-Luc Mélenchon pourrait bien relancer le débat en France, entre partisans du soutien inconditionnel à Israël et voix critiques dénonçant son impunité.