« Toutes les institutions sont piétinées par le président Macky Sall et son gouvernement », a dénoncé ce mercredi Me Madické Niang, à l’occasion du point de presse animé par le groupe parlementaire « Liberté et démocratie » et par les autres franges de l’opposition dite significative.
L’ex-ministre des Affaires étrangères, qui a informé que cette opposition parlementaire boycottera le passage du Premier ministre devant le Parlement, prévu demain, assimile cette séance à un « simulacre de démocratie » et à une « dictée préparée », en l’absence de tout débat contradictoire. Il en veut pour preuve : « Toute l’opposition réunie ne dispose que de 12 minutes contre 110 minutes pour la majorité… C’est un simulacre par la forme, par le fond et par la distribution du temps de parole ».
« Est-ce que la vérité peut surgir d’un tel débat », s’interroge-t-il. » Non ! », en conclut-il, avant de réitérer : « C’est pourquoi nous avons boudé et nous bouderons demain ». « Nous avons décidé de ne pas participer à la rencontre de demain parce que l’Assemblée ne joue plus son rôle de contrôle et d’évaluation de l’action de l’exécutif…Il y a un manque de considération énorme vis-à-vis de l‘institution parlementaire », a encore fustigé le président du groupe parlementaire « Liberté et démocratie ».
L’ex-ministre des Affaires étrangères, qui a informé que cette opposition parlementaire boycottera le passage du Premier ministre devant le Parlement, prévu demain, assimile cette séance à un « simulacre de démocratie » et à une « dictée préparée », en l’absence de tout débat contradictoire. Il en veut pour preuve : « Toute l’opposition réunie ne dispose que de 12 minutes contre 110 minutes pour la majorité… C’est un simulacre par la forme, par le fond et par la distribution du temps de parole ».
« Est-ce que la vérité peut surgir d’un tel débat », s’interroge-t-il. » Non ! », en conclut-il, avant de réitérer : « C’est pourquoi nous avons boudé et nous bouderons demain ». « Nous avons décidé de ne pas participer à la rencontre de demain parce que l’Assemblée ne joue plus son rôle de contrôle et d’évaluation de l’action de l’exécutif…Il y a un manque de considération énorme vis-à-vis de l‘institution parlementaire », a encore fustigé le président du groupe parlementaire « Liberté et démocratie ».