Les chefs d’État et de gouvernement des pays membres de la CEDEAO après avoir constaté les avancées notoires et significatives de la junte militaire à respecter ses exigences dans le processus de la transition, ils ont décidé de lever le bouclier économique mis contre le Mali. Ainsi, les sanctions ont été levées ce mardi.
Dans un communiqué qui nous est parvenu, la CEDEAO justifie ses motivations en ces termes : « prenant en compte ces avancées notables vers la normalisation constitutionnelle et pour soutenir ce processus, les Chefs d’État et de gouvernement décident de lever des sanctions sur le Mali. Ils appellent tous les partenaires bilatéraux et multilatéraux à soutenir le Mali », note le communiqué.
Néanmoins, la CEDEAO demande aux autorités de la transition à ne pas perdre de temps. L’autre étape selon le communiqué, c’est la mise en œuvre des autres décisions du sommet d’Accra. La CEDEAO exige la libération des autres officiels militaires et civils arrêtés depuis le 18 août dernier, jour du coup d’État et de la dissolution du CNSP.
Les chefs d’État et de gouvernement avaient noté en son temps que ce coup d’État est intervenu dans un contexte d’une crise sociopolitique déclenchée à l’issue des élections législatives de mars-avril 2020.
Dans un communiqué qui nous est parvenu, la CEDEAO justifie ses motivations en ces termes : « prenant en compte ces avancées notables vers la normalisation constitutionnelle et pour soutenir ce processus, les Chefs d’État et de gouvernement décident de lever des sanctions sur le Mali. Ils appellent tous les partenaires bilatéraux et multilatéraux à soutenir le Mali », note le communiqué.
Néanmoins, la CEDEAO demande aux autorités de la transition à ne pas perdre de temps. L’autre étape selon le communiqué, c’est la mise en œuvre des autres décisions du sommet d’Accra. La CEDEAO exige la libération des autres officiels militaires et civils arrêtés depuis le 18 août dernier, jour du coup d’État et de la dissolution du CNSP.
Les chefs d’État et de gouvernement avaient noté en son temps que ce coup d’État est intervenu dans un contexte d’une crise sociopolitique déclenchée à l’issue des élections législatives de mars-avril 2020.