Le nouveau passeport de la Confédération de l’Alliance des États du Sahel (AES) ne permet toujours pas de voyager en France ni dans l’espace Schengen en raison de retards dans la transmission des spécimens aux autorités compétentes. Ce retard a suscité la confusion parmi les citoyens maliens, contraignant le gouvernement à rappeler que les anciens passeports restent valables jusqu'à expiration.
Bien que les tensions diplomatiques entre Paris et Bamako persistent, c’est la société française Idemia qui continue de produire ces passeports, malgré des différends juridiques passés avec le Mali. La validation du document par la France est en cours et devrait être finalisée à la mi-avril. Cependant, au Niger et au Burkina Faso, aucune démarche similaire n’a encore été engagée.
Sur le plan diplomatique, les relations entre Paris et Bamako restent tendues, notamment avec la réduction drastique du nombre de visas accordés aux Maliens. Malgré plusieurs invitations de la France à des événements commémoratifs, le gouvernement malien a préféré afficher son rejet en annonçant son retrait de l’Organisation internationale de la Francophonie (OIF).
Bien que les tensions diplomatiques entre Paris et Bamako persistent, c’est la société française Idemia qui continue de produire ces passeports, malgré des différends juridiques passés avec le Mali. La validation du document par la France est en cours et devrait être finalisée à la mi-avril. Cependant, au Niger et au Burkina Faso, aucune démarche similaire n’a encore été engagée.
Sur le plan diplomatique, les relations entre Paris et Bamako restent tendues, notamment avec la réduction drastique du nombre de visas accordés aux Maliens. Malgré plusieurs invitations de la France à des événements commémoratifs, le gouvernement malien a préféré afficher son rejet en annonçant son retrait de l’Organisation internationale de la Francophonie (OIF).