Le Parti "La Nouvelle Responsabilité", que dirige l’ancien Premier ministre, Amadou Ba, a vivement salué la décision rendue par le Conseil constitutionnel ce mercredi 23 avril, invalidant la loi dite « interprétative » de l’amnistie, portée par la majorité actuelle. Une décision qualifiée d’« étape déterminante dans la vie démocratique » du pays, et perçue comme un camouflet infligé au Pastef.
Dans un communiqué au ton ferme, le parti se félicite de cette victoire obtenue à l’issue d’un recours introduit par les forces de l’opposition parlementaire. « La décision rendue le mercredi 23/04/2025 par le Conseil constitutionnel marque une étape déterminante dans la vie démocratique de notre nation », affirme le texte.
Le rejet de cette loi controversée, portée par les députés de la majorité, est selon La Nouvelle Responsabilité, « une éclatante victoire de l’opposition parlementaire contre la tentative pastéfienne d'instrumentalisation du droit ». Le parti souligne que cette bataille a été menée conjointement par les députés de Takku Wallu, les non-inscrits, et ceux de la coalition Jamm Ak Njariñ, dans un « élan unitaire, porté avec fermeté et responsabilité ».
Loin de se réjouir pour des motifs partisans, le parti insiste sur la portée juridique et institutionnelle de cette décision : « Nous nous réjouissons de cette victoire, non pour des considérations partisanes, mais parce qu’elle consacre la primauté du droit sur la volonté politique du moment, et rappelle à la majorité mécanique que nul n’est au-dessus des lois ».
La déclaration souligne également la contradiction de la majorité présidentielle qui, après avoir bénéficié pleinement de la loi d’amnistie initiale, a tenté d’en restreindre la portée pour des raisons jugées « opportunistes ». « Tenter, aujourd’hui, d’en restreindre la portée par une lecture opportuniste, après en avoir pleinement bénéficié, est une manœuvre dont le caractère arbitraire a été justement invalidé », assène le communiqué.
Le parti du Président Amadou BA revient sur les débats parlementaires au cours desquels ses députés avaient soulevé des irrégularités de fond et de procédure, refusant d’approuver un texte jugé dangereux pour l’équilibre institutionnel. À leurs yeux, la décision du Conseil constitutionnel valide aujourd’hui cette position : « Ce rejet par le Conseil constitutionnel vient donc confirmer la solidité de leur position et la légitimité de leur vigilance institutionnelle ».
Dans un communiqué au ton ferme, le parti se félicite de cette victoire obtenue à l’issue d’un recours introduit par les forces de l’opposition parlementaire. « La décision rendue le mercredi 23/04/2025 par le Conseil constitutionnel marque une étape déterminante dans la vie démocratique de notre nation », affirme le texte.
Le rejet de cette loi controversée, portée par les députés de la majorité, est selon La Nouvelle Responsabilité, « une éclatante victoire de l’opposition parlementaire contre la tentative pastéfienne d'instrumentalisation du droit ». Le parti souligne que cette bataille a été menée conjointement par les députés de Takku Wallu, les non-inscrits, et ceux de la coalition Jamm Ak Njariñ, dans un « élan unitaire, porté avec fermeté et responsabilité ».
Loin de se réjouir pour des motifs partisans, le parti insiste sur la portée juridique et institutionnelle de cette décision : « Nous nous réjouissons de cette victoire, non pour des considérations partisanes, mais parce qu’elle consacre la primauté du droit sur la volonté politique du moment, et rappelle à la majorité mécanique que nul n’est au-dessus des lois ».
La déclaration souligne également la contradiction de la majorité présidentielle qui, après avoir bénéficié pleinement de la loi d’amnistie initiale, a tenté d’en restreindre la portée pour des raisons jugées « opportunistes ». « Tenter, aujourd’hui, d’en restreindre la portée par une lecture opportuniste, après en avoir pleinement bénéficié, est une manœuvre dont le caractère arbitraire a été justement invalidé », assène le communiqué.
Le parti du Président Amadou BA revient sur les débats parlementaires au cours desquels ses députés avaient soulevé des irrégularités de fond et de procédure, refusant d’approuver un texte jugé dangereux pour l’équilibre institutionnel. À leurs yeux, la décision du Conseil constitutionnel valide aujourd’hui cette position : « Ce rejet par le Conseil constitutionnel vient donc confirmer la solidité de leur position et la légitimité de leur vigilance institutionnelle ».