Une arrestation qui a suscité une vague d’indignations aussi bien du côté des parents d’élèves que du côté des acteurs de l’école qui ont improvisé une réunion avec le préfet du département de Ziguinchor, Ibra Fall intransigeant sur la question. «La violence n’est pas acceptable. Il faut que force reste à la loi», tient–il à préciser devant les parents d’élèves et autres autorités de l’école qui ont sollicité la libération des trois élèves arrêtés dans le bureau de l’IA.
Pour Ibra Fall, «si ces élèves ont été arrêtés c’est parce qu’ils sont depuis recherchés par la police qui était à leur trousses», déclare l’autorité administrative qui a fait savoir aux parents d’élèves et autres autorités de l’école qu’il ne peut garantir leur libération immédiate. «Ces élèves ont franchi le rubicond. Je ne peux pas vous assurer qu’ils seront libérés cette nuit, demain ou un autre jour» déclare-t-il dans les colonnes de Sud Quotidien. Des propos que les parents d’élèves ont eu du mal à avaler. Aussitôt après ces trois arrestations des élèves ont convergé vers le commissariat central de police.
Pour Ibra Fall, «si ces élèves ont été arrêtés c’est parce qu’ils sont depuis recherchés par la police qui était à leur trousses», déclare l’autorité administrative qui a fait savoir aux parents d’élèves et autres autorités de l’école qu’il ne peut garantir leur libération immédiate. «Ces élèves ont franchi le rubicond. Je ne peux pas vous assurer qu’ils seront libérés cette nuit, demain ou un autre jour» déclare-t-il dans les colonnes de Sud Quotidien. Des propos que les parents d’élèves ont eu du mal à avaler. Aussitôt après ces trois arrestations des élèves ont convergé vers le commissariat central de police.