A la suite du dialogue national politique et social initié par son Excellence Macky Sall, Président de la République pour un Sénégal apaisé. Le Dialogue national a fait son premier tour de piste. Prendra-t-il son envol puis atteindra-t-il irréversiblement sa vitesse de croisière ?
L’avenir immédiat confirmera ou infirmera cette étape décisive pour la vie de notre nation. Dans le même sillage, ils sont très nombreux les sénégalais qui implorent les autorités à ouvrir dans la même dynamique un processus de négociation sincère avec l’ensemble des forces vives du pays afin d’arriver à un Sénégal entièrement pacifié.
Autant il est utile et opportun d’ouvrir un dialogue avec les différents acteurs politiques et de la société civile pour instaurer un climat apaisé dans notre Sénégal ; autant il est utile et à la limite impératif d’ouvrir ou de prendre des mesures fermes pour ouvrir avec le MFDC et l’ensembles des acteurs religieux, coutumiers, société civile, politiques…pour arriver à un Sénégal entièrement pacifié.
Pour mieux faire face aux défis du développement auxquels est confronté notre mère patrie, les sénégalais doivent œuvrer chacun de son côté à faire régner la PAIX. En effet, c’est dans l’harmonie, la concorde et la cohésion nationale que le Sénégal atteindra son objectif de devenir un pays émergent. Tous les fils du pays doivent être unis autour de l’essentiel et travailler la main dans la main pour placer notre Sénégal parmi les pays émergents.
Notre pays a besoin de l’apport de tous ses enfants pour assurer son développement. A travers la tenue du dialogue nationale, les sénégalais doivent prouver qu’au-delà de toute position partisane, c’est l’intérêt général qui prévaut, c’est le Sénégal qui compte. Voilà j’épouse « le Sénégal de tous pour tous » tant chanté.
J’espère que dans les conclusions et recommandations majeures du dialogue politique et social figurera en bonne place l’ouverture de négociations sincères en faveur d’un retour d’une paix durable dans cette partie sud du pays.
Sur le terrain, la situation est plus que jamais favorable car l’accalmie notée depuis plusieurs années constitue un atout pour ouvrir un dialogue. Les récentes sorties de Salif Sadio ont pour soubassement de tendre une main au résident pour un dialogue. A cela s’ajoute aussi les dispositions des plus hautes autorités pour se retrouver autour d’une table de négociation.
Donc il appartient au Président comme il a eu le génie d’appeler tout le monde autour d’une table pour discuter des questions engageant l’avenir même de notre Sénégal de le faire. Ce ne sont pas les ressources humaines qui manquent pour aider les deux parties à se retrouver. C’est plutôt un problème de choix des hommes nouveaux pouvant efficacement effectuer cette mission qui ne sont pas politiquement engagés et qui ne sont pas étiquetés.
A l’image du dialogue politique et social, il faut du sang nouveau. Le Sénégal n’a pas besoin d’importer des experts en dialogue, le pays regorge en son sein des fils et filles capables d’œuvrer pour l’instauration d’un climat de paix sur toute l’entendue du territoire national.
Je souhaite un franc succès au dialogue politique et social et que vivement le Sénégal serve d’exemple à d’autres nations.
Notre nation a toujours prouvé que ses fils savent laver le linge sale en famille, que les sénégalais savent taire leurs querelles et que l’intérêt de la nation est primordial.
Je souhaite qu’après le dialogue politique et social soit entamé le dialogue exclusivement réservé pour le retour de la paix en Casamance. Pour arriver à une concorde nationale et à une stabilité pour pouvoir faire face aux défis du développement afin de mener notre pays à l’émergence d’ici 2035 conformément aux vœux et aux ambitions du Président Macky Sall.
Vive le Sénégal
Nicolas Silandibithe BASSENE
L’avenir immédiat confirmera ou infirmera cette étape décisive pour la vie de notre nation. Dans le même sillage, ils sont très nombreux les sénégalais qui implorent les autorités à ouvrir dans la même dynamique un processus de négociation sincère avec l’ensemble des forces vives du pays afin d’arriver à un Sénégal entièrement pacifié.
Autant il est utile et opportun d’ouvrir un dialogue avec les différents acteurs politiques et de la société civile pour instaurer un climat apaisé dans notre Sénégal ; autant il est utile et à la limite impératif d’ouvrir ou de prendre des mesures fermes pour ouvrir avec le MFDC et l’ensembles des acteurs religieux, coutumiers, société civile, politiques…pour arriver à un Sénégal entièrement pacifié.
Pour mieux faire face aux défis du développement auxquels est confronté notre mère patrie, les sénégalais doivent œuvrer chacun de son côté à faire régner la PAIX. En effet, c’est dans l’harmonie, la concorde et la cohésion nationale que le Sénégal atteindra son objectif de devenir un pays émergent. Tous les fils du pays doivent être unis autour de l’essentiel et travailler la main dans la main pour placer notre Sénégal parmi les pays émergents.
Notre pays a besoin de l’apport de tous ses enfants pour assurer son développement. A travers la tenue du dialogue nationale, les sénégalais doivent prouver qu’au-delà de toute position partisane, c’est l’intérêt général qui prévaut, c’est le Sénégal qui compte. Voilà j’épouse « le Sénégal de tous pour tous » tant chanté.
J’espère que dans les conclusions et recommandations majeures du dialogue politique et social figurera en bonne place l’ouverture de négociations sincères en faveur d’un retour d’une paix durable dans cette partie sud du pays.
Sur le terrain, la situation est plus que jamais favorable car l’accalmie notée depuis plusieurs années constitue un atout pour ouvrir un dialogue. Les récentes sorties de Salif Sadio ont pour soubassement de tendre une main au résident pour un dialogue. A cela s’ajoute aussi les dispositions des plus hautes autorités pour se retrouver autour d’une table de négociation.
Donc il appartient au Président comme il a eu le génie d’appeler tout le monde autour d’une table pour discuter des questions engageant l’avenir même de notre Sénégal de le faire. Ce ne sont pas les ressources humaines qui manquent pour aider les deux parties à se retrouver. C’est plutôt un problème de choix des hommes nouveaux pouvant efficacement effectuer cette mission qui ne sont pas politiquement engagés et qui ne sont pas étiquetés.
A l’image du dialogue politique et social, il faut du sang nouveau. Le Sénégal n’a pas besoin d’importer des experts en dialogue, le pays regorge en son sein des fils et filles capables d’œuvrer pour l’instauration d’un climat de paix sur toute l’entendue du territoire national.
Je souhaite un franc succès au dialogue politique et social et que vivement le Sénégal serve d’exemple à d’autres nations.
Notre nation a toujours prouvé que ses fils savent laver le linge sale en famille, que les sénégalais savent taire leurs querelles et que l’intérêt de la nation est primordial.
Je souhaite qu’après le dialogue politique et social soit entamé le dialogue exclusivement réservé pour le retour de la paix en Casamance. Pour arriver à une concorde nationale et à une stabilité pour pouvoir faire face aux défis du développement afin de mener notre pays à l’émergence d’ici 2035 conformément aux vœux et aux ambitions du Président Macky Sall.
Vive le Sénégal
Nicolas Silandibithe BASSENE