Les dérapages constatés durant ces dernières années sur les réseaux sociaux, ont fait réagir Ibra Ndiaye, responsable politique de l’APR à Ndoga Babacar (Tambacouda), par ailleurs Président du Conseil d’Orientation de l’Agence des aéroports du Sénégal(ADS).
Avec le développement fulgurant des réseaux sociaux, on assiste le plus souvent au partage de ce que l’on n’a pas conçu ou de ce qui ne nous appartient pas . Pour ce jeune cadre de l’APR, Une véritable paresse intellectuelle et souvent, « on partage un son, une vidéo, un texte, etc. sans l’écouter, le visualiser ou le lire et parfois même de dénaturer, d'interpréter ou de sortir dans son contexte les propos d'un individu, dans le seul but de faire mal ! J’ai envie de me poser la question où allons-nous ? Nous sommes tous menacés, je dis bien nous tous », a-t-il averti dans un communiqué envoyé à exclusif.net.
Apportant ses solutions, M. Ndiaye, dira que « le débat doit être civilisé car nous nous réclamons être des hommes civilisés. Evitons les invectives, les insultes ; cela ne mène nulle part… Respectons l’opinion des autres, mais depuis un certain temps, ce serment ancré dans nos relations séculaires est violé tous les jours par certains. »
A l'en croire, « notre corps social est atteint de plusieurs maladies dont les plus sévères sont le mensonge, la mauvaise foi, la résignation qui est un suicide quotidien selon Balzac. »
En ce moment le Sénégal est sous « l’emprise » des événements malheureux (accidents, inondations, agressions, violences, violes, décès brusques, etc.) « Nous devons changer de comportements en tenant compte du droit des autres à chaque instant. Ainsi, les scientifiques, les religieux, les politiques et le grand public se doivent d’avoir un regard critique sur les dérapages constatés sur tous les plans dans notre société ; pensons à Allah pour chacun de nos actes », Ibra Ndiaye, responsable politique de l’APR à Ndoga Babacar(Tambacouda)
Avec le développement fulgurant des réseaux sociaux, on assiste le plus souvent au partage de ce que l’on n’a pas conçu ou de ce qui ne nous appartient pas . Pour ce jeune cadre de l’APR, Une véritable paresse intellectuelle et souvent, « on partage un son, une vidéo, un texte, etc. sans l’écouter, le visualiser ou le lire et parfois même de dénaturer, d'interpréter ou de sortir dans son contexte les propos d'un individu, dans le seul but de faire mal ! J’ai envie de me poser la question où allons-nous ? Nous sommes tous menacés, je dis bien nous tous », a-t-il averti dans un communiqué envoyé à exclusif.net.
Apportant ses solutions, M. Ndiaye, dira que « le débat doit être civilisé car nous nous réclamons être des hommes civilisés. Evitons les invectives, les insultes ; cela ne mène nulle part… Respectons l’opinion des autres, mais depuis un certain temps, ce serment ancré dans nos relations séculaires est violé tous les jours par certains. »
A l'en croire, « notre corps social est atteint de plusieurs maladies dont les plus sévères sont le mensonge, la mauvaise foi, la résignation qui est un suicide quotidien selon Balzac. »
En ce moment le Sénégal est sous « l’emprise » des événements malheureux (accidents, inondations, agressions, violences, violes, décès brusques, etc.) « Nous devons changer de comportements en tenant compte du droit des autres à chaque instant. Ainsi, les scientifiques, les religieux, les politiques et le grand public se doivent d’avoir un regard critique sur les dérapages constatés sur tous les plans dans notre société ; pensons à Allah pour chacun de nos actes », Ibra Ndiaye, responsable politique de l’APR à Ndoga Babacar(Tambacouda)
