Le Bureau du Procureur général (PGR) a formellement démenti, ce lundi, les accusations portées par l’équipe de campagne du candidat à la présidentielle Fernando Dias, qui soutenait que le parquet aurait ordonné la destitution de délégués auprès des Commissions électorales régionales (CER).
Dans un communiqué rendu public, le Procureur général, Fernando Gomes, affirme que les informations relayées par certains médias et sur les réseaux sociaux sont « totalement fausses ». Selon lui, « aucun magistrat du parquet, y compris le Procureur général et le Procureur général adjoint, n'a donné d'instructions pour destituer des représentants de partis politiques ou des candidats durant l'enquête ».
Le PGR rappelle que son institution agit « dans le strict respect du cadre légal » et que la gestion du processus électoral, à toutes ses étapes, relève exclusivement des Commissions électorales régionales (CER) et de la Commission électorale nationale (CNE). Le communiqué insiste sur le fait que « la présence des délégués des candidats est un droit inscrit dans la loi et doit être garantie par les instances électorales ».
Le Parquet déplore la circulation d’informations qu’il considère comme nuisibles au climat institutionnel. Il estime que ces allégations « visent à déstabiliser les institutions publiques et à saper leur confiance », appelant les médias et les citoyens à « une plus grande responsabilité dans la vérification des faits avant leur diffusion ».
Le Parquet général conclut en réaffirmant « son engagement en faveur de la transparence, de l’État de droit et du bon fonctionnement des institutions démocratiques de Guinée-Bissau ».
Ce démenti intervient alors que le climat politique reste tendu autour du processus électoral, marqué par des accusations croisées entre camps politiques à quelques jours de l’annonce des résultats.
Dans un communiqué rendu public, le Procureur général, Fernando Gomes, affirme que les informations relayées par certains médias et sur les réseaux sociaux sont « totalement fausses ». Selon lui, « aucun magistrat du parquet, y compris le Procureur général et le Procureur général adjoint, n'a donné d'instructions pour destituer des représentants de partis politiques ou des candidats durant l'enquête ».
Le PGR rappelle que son institution agit « dans le strict respect du cadre légal » et que la gestion du processus électoral, à toutes ses étapes, relève exclusivement des Commissions électorales régionales (CER) et de la Commission électorale nationale (CNE). Le communiqué insiste sur le fait que « la présence des délégués des candidats est un droit inscrit dans la loi et doit être garantie par les instances électorales ».
Le Parquet déplore la circulation d’informations qu’il considère comme nuisibles au climat institutionnel. Il estime que ces allégations « visent à déstabiliser les institutions publiques et à saper leur confiance », appelant les médias et les citoyens à « une plus grande responsabilité dans la vérification des faits avant leur diffusion ».
Le Parquet général conclut en réaffirmant « son engagement en faveur de la transparence, de l’État de droit et du bon fonctionnement des institutions démocratiques de Guinée-Bissau ».
Ce démenti intervient alors que le climat politique reste tendu autour du processus électoral, marqué par des accusations croisées entre camps politiques à quelques jours de l’annonce des résultats.

