Les Syndicats du Ministère public de Guinée-Bissau (SIMAMP et ASSILMAMP-GB) ont dénoncé ce vendredi la détention « arbitraire et illégale » de cinq magistrats nommés pour superviser la purge électorale au sein de la Commission nationale électorale (CNE), dans le secteur autonome de Bissau.
Selon leur communiqué, les magistrats Cipriano Naguelim, José Biaguê Badó, Quintino Inquebi, Romelo Barai et Mário Ialá ont été arrêtés mercredi par des hommes armés non identifiés alors qu’ils exerçaient des missions de surveillance au siège de la CNE. Ces cinq inspecteurs suivaient la procédure légale de purification des résultats de l’élection présidentielle.
Les syndicats soulignent que l’intervention des magistrats du ministère public à cette étape du processus électoral est une obligation légale, destinée à garantir la transparence, l’intégrité et le contrôle du scrutin. Ils qualifient ces arrestations de « violation grave » des prérogatives du pouvoir judiciaire et d’« atteinte sérieuse » à la crédibilité des institutions et à la confiance des citoyens dans le système démocratique.
Face à cet incident, les organisations syndicales exigent la libération immédiate et sans condition des cinq magistrats, ainsi que de toute personne détenue en dehors des cadres prévus par la loi. Elles appellent également à une intervention urgente du Procureur général de la République afin de rétablir la légalité et d’assurer la protection institutionnelle des inspecteurs du ministère public.
Les syndicats sollicitent enfin l’attention de la communauté internationale et des organisations de défense des droits humains, avertissant que ces arrestations constituent une menace directe pour la stabilité institutionnelle du pays.
Le SIMAMP et l’ASSILMAMP-GB réaffirment que le pouvoir judiciaire demeure attaché à ses obligations constitutionnelles et rejettent toute tentative d’ingérence ou d’intimidation visant à compromettre le processus électoral en cours.
Selon leur communiqué, les magistrats Cipriano Naguelim, José Biaguê Badó, Quintino Inquebi, Romelo Barai et Mário Ialá ont été arrêtés mercredi par des hommes armés non identifiés alors qu’ils exerçaient des missions de surveillance au siège de la CNE. Ces cinq inspecteurs suivaient la procédure légale de purification des résultats de l’élection présidentielle.
Les syndicats soulignent que l’intervention des magistrats du ministère public à cette étape du processus électoral est une obligation légale, destinée à garantir la transparence, l’intégrité et le contrôle du scrutin. Ils qualifient ces arrestations de « violation grave » des prérogatives du pouvoir judiciaire et d’« atteinte sérieuse » à la crédibilité des institutions et à la confiance des citoyens dans le système démocratique.
Face à cet incident, les organisations syndicales exigent la libération immédiate et sans condition des cinq magistrats, ainsi que de toute personne détenue en dehors des cadres prévus par la loi. Elles appellent également à une intervention urgente du Procureur général de la République afin de rétablir la légalité et d’assurer la protection institutionnelle des inspecteurs du ministère public.
Les syndicats sollicitent enfin l’attention de la communauté internationale et des organisations de défense des droits humains, avertissant que ces arrestations constituent une menace directe pour la stabilité institutionnelle du pays.
Le SIMAMP et l’ASSILMAMP-GB réaffirment que le pouvoir judiciaire demeure attaché à ses obligations constitutionnelles et rejettent toute tentative d’ingérence ou d’intimidation visant à compromettre le processus électoral en cours.
