L’image du sport sénégalais en sort sérieusement écornée. Le lutteur Aldiouma Diallo, alias Zarco, est au cœur d’un scandale mêlant rupture de contrat, abandon de combat et agression à l’arme blanche. Une affaire que le promoteur français de MMA, Éric Favre, qualifie lui-même de « tragédie ».
Dans une vidéo diffusée sur sa chaîne Éric Favre TV, le président de la « Éric Favre Nation League » revient en détail sur l’attitude du lutteur sénégalais, qu’il accuse d’avoir « trahi la confiance de toute une organisation ». Engagé pour un combat de MMA le 17 mai à Abidjan, Zarco avait pourtant pris part à une autre compétition de lutte au Sénégal, en totale contradiction avec son contrat signé le 27 février.
« On nous a pris pour des idiots », fustige Éric Favre, qui affirme que son équipe avait même adapté le protocole médical du lutteur pour lui permettre de participer, malgré des soucis de santé. Mais le jour de la pesée, Zarco annonce soudainement son retrait. Un comportement que le promoteur juge prémédité : « Il cherchait un prétexte pour s’enfuir du combat. »
Pis encore, l’affaire a pris une tournure dramatique lorsque Zarco a attaqué son adversaire nigérien avec une paire de ciseaux, lui causant des blessures aux mains. Une scène d’une rare violence, survenue en coulisses, qui a choqué les témoins et l’organisation.
« Ce n’est pas la lutte, ce pas le MMA. On combat dans une cage avec des gants, pas avec des ciseaux dans les vestiaires », s’indigne Éric Favre. Selon lui, seule la clémence du combattant agressé et de son entraîneur a évité à Zarco une arrestation sur-le-champ. « Sans leur bienveillance, Zarco serait probablement en prison aujourd’hui », affirme-t-il.
Pour le promoteur, cette affaire dépasse le cadre sportif : « Ce n’est ni la lutte sénégalaise qui gagne, ni le MMA, ni le sport, ni l’Afrique. C’est un immense gâchis. »
Alors que les images de l’agression circulent sur les réseaux sociaux, Éric Favre en appelle à des sanctions exemplaires et à une réforme des pratiques, pour redonner au sport africain l’image d’excellence et de discipline qu’il mérite.
Dans une vidéo diffusée sur sa chaîne Éric Favre TV, le président de la « Éric Favre Nation League » revient en détail sur l’attitude du lutteur sénégalais, qu’il accuse d’avoir « trahi la confiance de toute une organisation ». Engagé pour un combat de MMA le 17 mai à Abidjan, Zarco avait pourtant pris part à une autre compétition de lutte au Sénégal, en totale contradiction avec son contrat signé le 27 février.
« On nous a pris pour des idiots », fustige Éric Favre, qui affirme que son équipe avait même adapté le protocole médical du lutteur pour lui permettre de participer, malgré des soucis de santé. Mais le jour de la pesée, Zarco annonce soudainement son retrait. Un comportement que le promoteur juge prémédité : « Il cherchait un prétexte pour s’enfuir du combat. »
Pis encore, l’affaire a pris une tournure dramatique lorsque Zarco a attaqué son adversaire nigérien avec une paire de ciseaux, lui causant des blessures aux mains. Une scène d’une rare violence, survenue en coulisses, qui a choqué les témoins et l’organisation.
« Ce n’est pas la lutte, ce pas le MMA. On combat dans une cage avec des gants, pas avec des ciseaux dans les vestiaires », s’indigne Éric Favre. Selon lui, seule la clémence du combattant agressé et de son entraîneur a évité à Zarco une arrestation sur-le-champ. « Sans leur bienveillance, Zarco serait probablement en prison aujourd’hui », affirme-t-il.
Pour le promoteur, cette affaire dépasse le cadre sportif : « Ce n’est ni la lutte sénégalaise qui gagne, ni le MMA, ni le sport, ni l’Afrique. C’est un immense gâchis. »
Alors que les images de l’agression circulent sur les réseaux sociaux, Éric Favre en appelle à des sanctions exemplaires et à une réforme des pratiques, pour redonner au sport africain l’image d’excellence et de discipline qu’il mérite.