Le colonel Malick Diaw est un ancien directeur du Prytanée militaire que certains qualifient de « fabrique à putschistes ». Un endroit duquel il n’était pas loin lors du coup d’Etat du 18 août, car il occupait le poste de chef d’état-major de la troisième région militaire de Kati. Il serait l’instigateur de la mutinerie tôt le matin aux côtés du colonel Sadio Camara.
Aujourd’hui vice-président du CNSP, ses apparitions et mouvements révèlent qu’il est au centre de la constitution d’une feuille de route pour la transition à venir. Alors qu’il s’était rendu au Burkina Faso et au Niger le 27 août, à la veille d’un sommet exceptionnel de la Communauté économique des pays de l’Afrique de l’Ouest (Cédéao) où le sort du Mali a été âprement débattu, il est aussi allé à la rencontre des membres du Mouvement du 5 juin-Rassemblement des forces patriotiques (M5-RFP), principale force de contestation du régime d’« IBK ».
Le 5 septembre, la tâche lui est également revenue d’ouvrir les ateliers de concertations nationales en vue de la mise en place de la transition. « L’agenda du CNSP est précis : il s’agit de contribuer à la reconstruction de notre pays à travers la garantie de la poursuite du processus démocratique », y déclarait-il.
Aujourd’hui vice-président du CNSP, ses apparitions et mouvements révèlent qu’il est au centre de la constitution d’une feuille de route pour la transition à venir. Alors qu’il s’était rendu au Burkina Faso et au Niger le 27 août, à la veille d’un sommet exceptionnel de la Communauté économique des pays de l’Afrique de l’Ouest (Cédéao) où le sort du Mali a été âprement débattu, il est aussi allé à la rencontre des membres du Mouvement du 5 juin-Rassemblement des forces patriotiques (M5-RFP), principale force de contestation du régime d’« IBK ».
Le 5 septembre, la tâche lui est également revenue d’ouvrir les ateliers de concertations nationales en vue de la mise en place de la transition. « L’agenda du CNSP est précis : il s’agit de contribuer à la reconstruction de notre pays à travers la garantie de la poursuite du processus démocratique », y déclarait-il.