La société civile locale de Ziguinchor monte au créneau après l’arrestation de Mouhamed Fadel Yaffa, actuellement placé en garde à vue au niveau de la brigade de gendarmerie de Saly par la DSCOS. Dans une déclaration rendue publique ce mardi 28 octobre 2025, les organisations Vision Citoyenne, l’ONA2J et le FRAPP dénoncent une détention qu’elles qualifient « d’arbitraire ».
Selon ces organisations, aucune plainte officielle n’a été déposée et aucun élément de preuve formelle n’a été présenté contre Mouhamed Fadel Yaffa. La société civile affirme qu’il est accusé à tort dans une affaire de destruction de biens.
« Il est accusé à tort de destruction de biens alors qu’il n’était pas présent sur les lieux et n’a donné aucun ordre en ce sens », indiquent les organisations dans leur communiqué.
Les acteurs de la société civile s’insurgent également contre ce qu’ils considèrent comme un grave dysfonctionnement administratif impliquant la mairie de Sindia, dirigée par le maire Thierno Diagne. Ils pointent un système de gestion foncière opaque, marqué par l’attribution de plusieurs actes sur un même site.
« Cette situation met en lumière un grave dysfonctionnement administratif, illustré par la délivrance d’actes multiples sur un même site par le maire de Sindia, M. Thierno Diagne », dénoncent-ils, avant d’ajouter : « Le travail sérieux dont les éléments de la DSCOS devraient se charger est la vérité sur la délivrance de multiples actes de délibération sur le même site, ce qui constitue une faute grave flagrante. »
Face à ce qu’elles considèrent comme une injustice, les organisations formulant la déclaration dressent trois exigences : « Nous exigeons sans condition : La libération immédiate de Mouhamed Fadel Yaffa, La transparence totale sur les motifs de sa détention, L’ouverture d’une enquête indépendante sur les irrégularités constatées au niveau de la mairie de Sindia et des services concernés. »
Elles concluent en affirmant rester mobilisées jusqu’à la manifestation de la vérité : « La société civile de Ziguinchor reste unie et mobilisée pour que la vérité et la justice triomphent. »
Selon ces organisations, aucune plainte officielle n’a été déposée et aucun élément de preuve formelle n’a été présenté contre Mouhamed Fadel Yaffa. La société civile affirme qu’il est accusé à tort dans une affaire de destruction de biens.
« Il est accusé à tort de destruction de biens alors qu’il n’était pas présent sur les lieux et n’a donné aucun ordre en ce sens », indiquent les organisations dans leur communiqué.
Les acteurs de la société civile s’insurgent également contre ce qu’ils considèrent comme un grave dysfonctionnement administratif impliquant la mairie de Sindia, dirigée par le maire Thierno Diagne. Ils pointent un système de gestion foncière opaque, marqué par l’attribution de plusieurs actes sur un même site.
« Cette situation met en lumière un grave dysfonctionnement administratif, illustré par la délivrance d’actes multiples sur un même site par le maire de Sindia, M. Thierno Diagne », dénoncent-ils, avant d’ajouter : « Le travail sérieux dont les éléments de la DSCOS devraient se charger est la vérité sur la délivrance de multiples actes de délibération sur le même site, ce qui constitue une faute grave flagrante. »
Face à ce qu’elles considèrent comme une injustice, les organisations formulant la déclaration dressent trois exigences : « Nous exigeons sans condition : La libération immédiate de Mouhamed Fadel Yaffa, La transparence totale sur les motifs de sa détention, L’ouverture d’une enquête indépendante sur les irrégularités constatées au niveau de la mairie de Sindia et des services concernés. »
Elles concluent en affirmant rester mobilisées jusqu’à la manifestation de la vérité : « La société civile de Ziguinchor reste unie et mobilisée pour que la vérité et la justice triomphent. »

