Dans un entretien avec le site Kacc Kacci Tv, l’ex-capitaine de gendarmerie Seydina Oumar Touré, cité dans l’affaire Adji Sarr-Sonko, est revenu sur sa radiation de la gendarmerie nationale. Un sujet que le concerné ne souhaite pas aborder, car suivant les conseils de ses avocats.
Ainsi, renseigne-t-il, «mes avocats m’ont déconseillé de ne pas communiquer là-dessus, avant la décision de la Cour suprême. C’est juste une autorité qui a pris la décision. Je ne suis pas d’accord, car on n’a pas respecté le droit, lors de la prise de cette décision».
Il explique en ces termes : «A la gendarmerie, avant une proposition de radiation, on fait un conseil d’enquête. C’est un genre de réunion où, à la fin, on prend une décision prise par cinq personnes, par vote. Et au cours de ce vote, la majorité, c'est-à-dire les cinq membres qui doivent voter, n’étaient pas d’accord sur la décision de radiation. Mais malgré cela, le président a pris la décision de me radier. Puisque je ne suis pas d’accord, je dois fournir des documents qui prouvent que le président n’a pas respecté certaines règles de droit. Et la cour doit examiner cela. Si j’ai raison, on annule la décision du président et je serai réintégré dans la gendarmerie.»
Ainsi, renseigne-t-il, «mes avocats m’ont déconseillé de ne pas communiquer là-dessus, avant la décision de la Cour suprême. C’est juste une autorité qui a pris la décision. Je ne suis pas d’accord, car on n’a pas respecté le droit, lors de la prise de cette décision».
Il explique en ces termes : «A la gendarmerie, avant une proposition de radiation, on fait un conseil d’enquête. C’est un genre de réunion où, à la fin, on prend une décision prise par cinq personnes, par vote. Et au cours de ce vote, la majorité, c'est-à-dire les cinq membres qui doivent voter, n’étaient pas d’accord sur la décision de radiation. Mais malgré cela, le président a pris la décision de me radier. Puisque je ne suis pas d’accord, je dois fournir des documents qui prouvent que le président n’a pas respecté certaines règles de droit. Et la cour doit examiner cela. Si j’ai raison, on annule la décision du président et je serai réintégré dans la gendarmerie.»