En remportant sa demi-finale mondiale contre le Lituanien Egidijus Kavaliauskas ce samedi 10 mai, Souleymane Cissokho devient challenger officiel du champion WBC des welters (-66,678 kg), l'Américain Mario Barrios. Une victoire calculée, obtenue au bout des 12 rounds réglementaires par décision unanime.
Souleymane Cissokho a eu du mal à démarrer, mais l’a finalement emporté. Le boxeur franco-sénégalais rentrait dans le ring ce samedi pour ce qui s’annonçait être comme le combat le plus dur de sa carrière, mais aussi le plus important.
Invaincu après 17 matchs en professionnel, cette demi-finale mondiale contre l’expérimenté Egidijus Kavaliauskas, qui a déjà combattu deux fois pour la ceinture, était la dernière étape avant d’espérer pouvoir affronter le champion Mario Barrios, et toucher du doigt son rêve de titre mondial.
Cissokho mis à terre, mais pas KO
Dans une salle complètement acquise à sa cause du côté de Malabo, en Guinée équatoriale, le Français est dépassé par la puissance de son adversaire dans les premiers rounds. Image rare, le boxeur met un genou à terre, une première fois lors du second round. Lors du cinquième, il manque même de tomber du ring après avoir été déstabilisé par un uppercut de Kavaliauskas. Malgré ça, Cissokho l’emporte à l’endurance, contre un Lituanien de 36 ans que l’on sent plus usé dans les derniers rounds.
Sans prendre de risques, le boxeur franco-sénégalais a bien géré ses distances avec son adversaire afin de l’emporter méthodiquement, sur décision unanime (114-112, 115-111, 116-110).
Les yeux sont désormais rivés sur la ceinture de champion du monde pour celui qui a été médaillé de bronze à Rio en 2016. Souleymane Cissokho aura l’occasion de marquer l’histoire de la boxe française, qui attend cela depuis des décennies, mais surtout, de réaliser son rêve.
Souleymane Cissokho a eu du mal à démarrer, mais l’a finalement emporté. Le boxeur franco-sénégalais rentrait dans le ring ce samedi pour ce qui s’annonçait être comme le combat le plus dur de sa carrière, mais aussi le plus important.
Invaincu après 17 matchs en professionnel, cette demi-finale mondiale contre l’expérimenté Egidijus Kavaliauskas, qui a déjà combattu deux fois pour la ceinture, était la dernière étape avant d’espérer pouvoir affronter le champion Mario Barrios, et toucher du doigt son rêve de titre mondial.
Cissokho mis à terre, mais pas KO
Dans une salle complètement acquise à sa cause du côté de Malabo, en Guinée équatoriale, le Français est dépassé par la puissance de son adversaire dans les premiers rounds. Image rare, le boxeur met un genou à terre, une première fois lors du second round. Lors du cinquième, il manque même de tomber du ring après avoir été déstabilisé par un uppercut de Kavaliauskas. Malgré ça, Cissokho l’emporte à l’endurance, contre un Lituanien de 36 ans que l’on sent plus usé dans les derniers rounds.
Sans prendre de risques, le boxeur franco-sénégalais a bien géré ses distances avec son adversaire afin de l’emporter méthodiquement, sur décision unanime (114-112, 115-111, 116-110).
Les yeux sont désormais rivés sur la ceinture de champion du monde pour celui qui a été médaillé de bronze à Rio en 2016. Souleymane Cissokho aura l’occasion de marquer l’histoire de la boxe française, qui attend cela depuis des décennies, mais surtout, de réaliser son rêve.