Le leader de Pastef (parti d'opposition), et candidat déclaré à la présidentielle de 2024, Ousmane Sonko a été condamné en appel le 8 mai, à 6 mois de prison avec sursis pour "diffamation et injures" contre le ministre du Tourisme, Mame Mbaye Niang. Une condamnation qui, confirmée par la Cour suprême, pourrait l'empêcher d'être candidat.
Son dossier pour viols et menaces de mort présumés, après le renvoi le 16 mai, devrait être appelé à nouveau à la barre mardi 23 mai devant la chambre criminelle. Mais Sonko a toujours crié complot et accusé le pouvoir de vouloir l'éliminer de la présidentielle de 2024.
«Je n’ai pas eu vent, moi, d’une volonté ou d’une tentative d’arrestation de Monsieur Ousmane Sonko. Je ne comprends pas pourquoi aujourd’hui ses partisans s’organisent autour de son domicile pour bloquer les voies d’accès, surtout que son domicile se trouve sur une voie stratégique.» «Il est clair que, quand un homme politique au Sénégal ou dans le monde, est confronté à une situation difficile, que ses adversaires veuillent en tirer profit. C’est logique, nous sommes en politique. Maintenant c’est une attitude bien politicienne que quand un acteur politique a un problème judiciaire, qu’il dise que l’Etat tente de lui mettre les bâtons dans les roues.»
«Ce dialogue va tourner principalement autour de la réhabilitation politique de certains hommes qui ont maille à partir. Avec la Justice notamment les cas Khalifa Sall et peut être le cas Karim Wade etc voir comment régler les préoccupations que ces hommes politiques ont pour participer aux élections. Mais aussi voir des question notamment le parrainage. Mais, ça ne devrait pas aller plus loin que ces questions parce que la plupart des questions ont été vidées au dialogue en mai 2019.»
La question du 3e mandat au dialogue ?
«Il ne saurait y avoir une place pour discuter de la légitimité ou de la volonté probable ou improbable du président Macky Sall de vouloir se présenter. C’est un lire choix. Ce qui est constant, c’est que la loi, la constitution, la jurisprudence en la matière lui offrent toutes les garanties pour qu’il puisse présenter sa candidature. C’est un choix personnel. Donc ça ne pourrait être l’objet d’une discussion au dialogue.»
Son dossier pour viols et menaces de mort présumés, après le renvoi le 16 mai, devrait être appelé à nouveau à la barre mardi 23 mai devant la chambre criminelle. Mais Sonko a toujours crié complot et accusé le pouvoir de vouloir l'éliminer de la présidentielle de 2024.
«Je n’ai pas eu vent, moi, d’une volonté ou d’une tentative d’arrestation de Monsieur Ousmane Sonko. Je ne comprends pas pourquoi aujourd’hui ses partisans s’organisent autour de son domicile pour bloquer les voies d’accès, surtout que son domicile se trouve sur une voie stratégique.» «Il est clair que, quand un homme politique au Sénégal ou dans le monde, est confronté à une situation difficile, que ses adversaires veuillent en tirer profit. C’est logique, nous sommes en politique. Maintenant c’est une attitude bien politicienne que quand un acteur politique a un problème judiciaire, qu’il dise que l’Etat tente de lui mettre les bâtons dans les roues.»
«Ce dialogue va tourner principalement autour de la réhabilitation politique de certains hommes qui ont maille à partir. Avec la Justice notamment les cas Khalifa Sall et peut être le cas Karim Wade etc voir comment régler les préoccupations que ces hommes politiques ont pour participer aux élections. Mais aussi voir des question notamment le parrainage. Mais, ça ne devrait pas aller plus loin que ces questions parce que la plupart des questions ont été vidées au dialogue en mai 2019.»
La question du 3e mandat au dialogue ?
«Il ne saurait y avoir une place pour discuter de la légitimité ou de la volonté probable ou improbable du président Macky Sall de vouloir se présenter. C’est un lire choix. Ce qui est constant, c’est que la loi, la constitution, la jurisprudence en la matière lui offrent toutes les garanties pour qu’il puisse présenter sa candidature. C’est un choix personnel. Donc ça ne pourrait être l’objet d’une discussion au dialogue.»