Qui va arrêter le tout-puissant Me Babacar Ndiaye ? En effet au moment où tout le monde attendait une contre-attaque sur son bilan financier, il vire à gauche et sert une citation directe à l’ancien président de la fédération Sénégalaise de Basketball, Baba Tandian qui a osé lui demander des comptes sur les affaires des 100 millions et 300 millions de nos francs.
«Ce que j’attendais de Me Ndiaye des comptes sur les fonds dépensés pendant les dernières compétitions non une citation. Si je réclame des comptes c’est pour le bien du basket. Car l’argent doit aller au basquet, aux basketteurs et aux présidents de clubs qui se tuent chaque jour. J’ai le droit de lui demander des comptes parce que je suis un ancien président de la fédération nationale de basquet », regrette Baba Tandian, joint par exclusif.net depuis Istanbul.
Pour l’ancien international Sénégalais de Basket, Me Ndiaye veut les réduire en silence. « Il veut nous faire taire, mais c’est raté. Il y a rien à craindre car personne ne l’a insulté, mais j’ai posé des questions et il doit me répondre, point. Concernant le Dircab du ministère des sports, c’est le quotidien « Record » qui avait écrit et au ministère on me confirme le contraire. Je prends acte car le Dircab n’est pas dans mon champ de mire mais plutôt le président de la fédération de basket sinon pour tout le reste pas d'inquiétude. Me Ndiaye veut nous réduire au silence mais c’est peine perdu car nous somme acteurs de ce basket et quand je mettais mon argent pour relever le niveau du basket il n'était pas là, quand je mettais plus 100 millions pour que le basket soit vendable il n'était pas là, quand on tirait le diable par la queue pour le sort du basket et des anciennes basketteuses dont certaines se trouvaient dans des situation difficiles il n'était pas là », rappelle M. Tandian.
L’ancien président contrairement à l’actuel, il a soutenu les anciennes basketteuses comme Mame Mary Mbengue Nathalie Sagna, Berek, Anne marie Diokh, Mame Penda… « Et tous les autres que je ne peux pas citer car la liste est longue, voir cette marginalité à leur égard lors des demies finales et finale de l'Afrobasket, dont certaine parmi que je viens de citer se sont faites virer hors du stade parce qu’elles n'avaient pas prévu de payer pour entrer dans ce temple Arena dont sa construction obéit aux nombreuses victoires de ces filles à qui on refuse l'entrée pour un misérable 10.000 frs. »
Avec cette tournure de "non bilan", Me Babacar Ndiaye est en train de donner raison à ses détracteurs . Mais Baba Tandian promet de continuer le combat pour le triomphe de la vérité. « Je continuerai à dénoncer cette forfaiture de la fédération de basket de Me Ndiaye car il est responsable de ce basket aujourdhui, et ce n’est pas comme ça qu’il doit s'y prendre pour me faire taire. En 1989 date de la première récompense du roi et de la reine de basket et jamais interrompu par l'imprimerie Tandian que j’ai l'honneur de diriger où était il pour nous empêcher de parler des disfonctionnements ? », s’interroge, Baba Tandian.
« Combien de fois j’ai demandé un débat en toute sérénité avec lui mais c’est quelqu'un qui fuit les débats normal car il ne connait rien du basket, alors s'il le veut sur la place publique eh bien on n’y va. Il faut qu’il comprenne que le basket est une discipline que nous respectons, car il a changé beaucoup de notre vie familiale et professionnelle et on était venu pour servir et non se servir. »
«Ce que j’attendais de Me Ndiaye des comptes sur les fonds dépensés pendant les dernières compétitions non une citation. Si je réclame des comptes c’est pour le bien du basket. Car l’argent doit aller au basquet, aux basketteurs et aux présidents de clubs qui se tuent chaque jour. J’ai le droit de lui demander des comptes parce que je suis un ancien président de la fédération nationale de basquet », regrette Baba Tandian, joint par exclusif.net depuis Istanbul.
Pour l’ancien international Sénégalais de Basket, Me Ndiaye veut les réduire en silence. « Il veut nous faire taire, mais c’est raté. Il y a rien à craindre car personne ne l’a insulté, mais j’ai posé des questions et il doit me répondre, point. Concernant le Dircab du ministère des sports, c’est le quotidien « Record » qui avait écrit et au ministère on me confirme le contraire. Je prends acte car le Dircab n’est pas dans mon champ de mire mais plutôt le président de la fédération de basket sinon pour tout le reste pas d'inquiétude. Me Ndiaye veut nous réduire au silence mais c’est peine perdu car nous somme acteurs de ce basket et quand je mettais mon argent pour relever le niveau du basket il n'était pas là, quand je mettais plus 100 millions pour que le basket soit vendable il n'était pas là, quand on tirait le diable par la queue pour le sort du basket et des anciennes basketteuses dont certaines se trouvaient dans des situation difficiles il n'était pas là », rappelle M. Tandian.
L’ancien président contrairement à l’actuel, il a soutenu les anciennes basketteuses comme Mame Mary Mbengue Nathalie Sagna, Berek, Anne marie Diokh, Mame Penda… « Et tous les autres que je ne peux pas citer car la liste est longue, voir cette marginalité à leur égard lors des demies finales et finale de l'Afrobasket, dont certaine parmi que je viens de citer se sont faites virer hors du stade parce qu’elles n'avaient pas prévu de payer pour entrer dans ce temple Arena dont sa construction obéit aux nombreuses victoires de ces filles à qui on refuse l'entrée pour un misérable 10.000 frs. »
Avec cette tournure de "non bilan", Me Babacar Ndiaye est en train de donner raison à ses détracteurs . Mais Baba Tandian promet de continuer le combat pour le triomphe de la vérité. « Je continuerai à dénoncer cette forfaiture de la fédération de basket de Me Ndiaye car il est responsable de ce basket aujourdhui, et ce n’est pas comme ça qu’il doit s'y prendre pour me faire taire. En 1989 date de la première récompense du roi et de la reine de basket et jamais interrompu par l'imprimerie Tandian que j’ai l'honneur de diriger où était il pour nous empêcher de parler des disfonctionnements ? », s’interroge, Baba Tandian.
« Combien de fois j’ai demandé un débat en toute sérénité avec lui mais c’est quelqu'un qui fuit les débats normal car il ne connait rien du basket, alors s'il le veut sur la place publique eh bien on n’y va. Il faut qu’il comprenne que le basket est une discipline que nous respectons, car il a changé beaucoup de notre vie familiale et professionnelle et on était venu pour servir et non se servir. »
