L'ancien Ministre de la Recherche scientifique sous Abdou Diouf, Balla Moussa Daffé, considéré comme l’une des figures emblématiques de la vie politique de la région de Sédhiou ne cache pas sa désolation par rapport à la crise que traverse le Sénégal. Ce dernier a réagi face à cette crise politique qui secoue le Sénégal ces derniers jours.
Selon l'ancien Ministre, il est vraiment regrettable que le Sénégal qui a été un exemple en matière de démocratie sombre dans une pareille situation. Monsieur Daffé appelle à une cohésion sociale et une nouvelle manière de faire de la politique.
"Nous avons assisté à beaucoup d'évènements politiques au Sénégal. Mais j'avoue que c'est la première fois de son histoire que le Sénégal se trouve dans une situation inquiétante aussi tendue. J'avais cru que nous avions dépassé cette manière de faire la politique. Il faut que les acteurs politiques reviennent à la raison" a-t-il déclaré dans le site seneweb
Malgré les divergences d'opinions au sein de l'arène politique, Balla Moussa Daffé estime que le Sénégal n'est la propriété de personne , pouvoir comme opposition. Les deux camps doivent tous revenir à la raison afin de préserver la paix sociale.
Selon l'ancien Ministre, il est vraiment regrettable que le Sénégal qui a été un exemple en matière de démocratie sombre dans une pareille situation. Monsieur Daffé appelle à une cohésion sociale et une nouvelle manière de faire de la politique.
"Nous avons assisté à beaucoup d'évènements politiques au Sénégal. Mais j'avoue que c'est la première fois de son histoire que le Sénégal se trouve dans une situation inquiétante aussi tendue. J'avais cru que nous avions dépassé cette manière de faire la politique. Il faut que les acteurs politiques reviennent à la raison" a-t-il déclaré dans le site seneweb
Malgré les divergences d'opinions au sein de l'arène politique, Balla Moussa Daffé estime que le Sénégal n'est la propriété de personne , pouvoir comme opposition. Les deux camps doivent tous revenir à la raison afin de préserver la paix sociale.
