Certains parleraient d'excès de confiance. D'après les informations du quotidien l'Opinion, le bail des locaux de campagne du candidat Sarkozy a été signé pour une période de 9 mois, soit jusqu'en mai 2017. Mais hélas...
«L’homme propose et Dieu dispose» selon l’adage. Cette fois, on peut dire que comme en 2012, l’ex-président français n’aura pas eu les faveurs des “dieux“ de la droite. Il a été éjecté de la course à la présidentielle au premier tour des primaires.
Il devra donc rendre les clés des locaux situés à deux pas de la tour Eiffel avec quelques mois d’avance. Nicolas Sarkozy s'en de son QG mais également de la vie politique.
C’est du moins ce qu’il a laissé entendre dans son discours à l’issue des primaires de la droite ce dimanche 20 novembre.
Il a ainsi déclaré que «ses passions seraient moins publiques» mais qu’il continuerait à suivre la vie politique: «Bonne chance à vous mes chers compatriotes. Tout ce qui touche de près ou de loin à la France me touche personnellement.»
L’ancien président de la République a ensuite quitté son QG entouré de ses plus fervents partisans, dont plusieurs étaient en pleurs.
Avant son allocution, certains ont pris à parti les journalistes. «Dehors les journalistes. Vous avez tous voté Hollande. Des traîtres à la France. Des vendus», a lancé une femme dans une atmosphère électrique.
«L’homme propose et Dieu dispose» selon l’adage. Cette fois, on peut dire que comme en 2012, l’ex-président français n’aura pas eu les faveurs des “dieux“ de la droite. Il a été éjecté de la course à la présidentielle au premier tour des primaires.
Il devra donc rendre les clés des locaux situés à deux pas de la tour Eiffel avec quelques mois d’avance. Nicolas Sarkozy s'en de son QG mais également de la vie politique.
C’est du moins ce qu’il a laissé entendre dans son discours à l’issue des primaires de la droite ce dimanche 20 novembre.
Il a ainsi déclaré que «ses passions seraient moins publiques» mais qu’il continuerait à suivre la vie politique: «Bonne chance à vous mes chers compatriotes. Tout ce qui touche de près ou de loin à la France me touche personnellement.»
L’ancien président de la République a ensuite quitté son QG entouré de ses plus fervents partisans, dont plusieurs étaient en pleurs.
Avant son allocution, certains ont pris à parti les journalistes. «Dehors les journalistes. Vous avez tous voté Hollande. Des traîtres à la France. Des vendus», a lancé une femme dans une atmosphère électrique.

