Dans un message adressé à ses compatriotes, l’ancien Premier ministre Dr Aristides Gomes a assuré que « le président Fernando Dias da Costa dirigera la Guinée-Bissau », malgré l’instabilité née du coup de force militaire.
« Mes équipes et moi travaillons à l’international pour s’en assurer », a-t-il déclaré, précisant qu’une campagne de communication multilingue est en préparation pour expliquer « ce qui s’est réellement passé en Guinée-Bissau » à l’opinion mondiale.
Il a appelé la population à rester mobilisée : « La Guinée-Bissau vaincra la tyrannie ! Restons unis ! ».
D’ailleurs, concernant « le voisin immédiat, le Sénégal », Dr Gomes souligne que François Mendy, panéliste de l’opposition bissau-guinéenne et responsable de la coordination de la stratégie et de la communication internationale du président élu Fernando Dias da Costa, s’est exprimé en wolof sur plusieurs médias dakarois.
Son intervention avait pour but de « faire comprendre au peuple frère du Sénégal que Sissoco a perdu les élections » et d’appeler le gouvernement sénégalais à « aider la Guinée-Bissau afin que Fernando Dias da Costa puisse gouverner selon la volonté populaire ».
« Mes équipes et moi travaillons à l’international pour s’en assurer », a-t-il déclaré, précisant qu’une campagne de communication multilingue est en préparation pour expliquer « ce qui s’est réellement passé en Guinée-Bissau » à l’opinion mondiale.
Il a appelé la population à rester mobilisée : « La Guinée-Bissau vaincra la tyrannie ! Restons unis ! ».
D’ailleurs, concernant « le voisin immédiat, le Sénégal », Dr Gomes souligne que François Mendy, panéliste de l’opposition bissau-guinéenne et responsable de la coordination de la stratégie et de la communication internationale du président élu Fernando Dias da Costa, s’est exprimé en wolof sur plusieurs médias dakarois.
Son intervention avait pour but de « faire comprendre au peuple frère du Sénégal que Sissoco a perdu les élections » et d’appeler le gouvernement sénégalais à « aider la Guinée-Bissau afin que Fernando Dias da Costa puisse gouverner selon la volonté populaire ».

