La décision rendue par le Conseil constitutionnel sur la Loi d’amnistie continue de susciter de vives réactions dans la classe politique sénégalaise. Parmi les voix les plus critiques, celle d’Aïssata Tall Sall, présidente du groupe parlementaire "Takku Wallu Sénégal", s’est particulièrement distinguée par la virulence de sa déclaration.
Dans un communiqué cinglant, l’ancienne ministre de la Justice n’a pas mâché ses mots à l’endroit de ceux qu’elle qualifie de « docteurs Diafoirus du droit », dénonçant ce qu’elle considère comme une tentative de manipulation juridique autour de la portée de la Loi d’amnistie.
« La justice n’est pas un jeu de Lambi Golo ! », a-t-elle lancé avec ironie, avant d’ajouter : « Le droit est une science que l’on ne peut triturer à sa façon et selon son bon vouloir ».
Revenant sur les débats houleux autour de l’interprétation du texte, Mme Tall Sall s’est félicitée de ce qu’elle qualifie de « décision historique » du Conseil constitutionnel, qui, selon elle, a mis fin à la confusion entretenue par certains juristes autoproclamés. « Les docteurs Diafoirus du droit qui voulaient interpréter la Loi d’amnistie en ont eu pour leurs frais ! », s’est-elle réjouie.
Selon la députée, cette décision vient rappeler que l’interprétation du droit ne saurait être laissée à des considérations politiques ou partisanes. « La décision historique du Conseil constitutionnel vient de les ramener tranquillement à l’amphithéâtre », a-t-elle poursuivi, moquant l’arrogance de certains commentateurs.
Mais elle ne s’est pas arrêtée là. Dans un ton encore plus accusateur, Aïssata Tall Sall déplore le fait que, malgré la clarté de la décision rendue, « au lieu de reconnaître humblement qu’ils se sont perdus, ils en sont, toute honte bue, à vouloir encore interpréter la décision du Conseil ».
Et de conclure, dans une formule latine sans équivoque : « Errare humanum est, perseverare diabolicum ! » (L’erreur est humaine, mais persévérer dans l’erreur est diabolique).
Dans un communiqué cinglant, l’ancienne ministre de la Justice n’a pas mâché ses mots à l’endroit de ceux qu’elle qualifie de « docteurs Diafoirus du droit », dénonçant ce qu’elle considère comme une tentative de manipulation juridique autour de la portée de la Loi d’amnistie.
« La justice n’est pas un jeu de Lambi Golo ! », a-t-elle lancé avec ironie, avant d’ajouter : « Le droit est une science que l’on ne peut triturer à sa façon et selon son bon vouloir ».
Revenant sur les débats houleux autour de l’interprétation du texte, Mme Tall Sall s’est félicitée de ce qu’elle qualifie de « décision historique » du Conseil constitutionnel, qui, selon elle, a mis fin à la confusion entretenue par certains juristes autoproclamés. « Les docteurs Diafoirus du droit qui voulaient interpréter la Loi d’amnistie en ont eu pour leurs frais ! », s’est-elle réjouie.
Selon la députée, cette décision vient rappeler que l’interprétation du droit ne saurait être laissée à des considérations politiques ou partisanes. « La décision historique du Conseil constitutionnel vient de les ramener tranquillement à l’amphithéâtre », a-t-elle poursuivi, moquant l’arrogance de certains commentateurs.
Mais elle ne s’est pas arrêtée là. Dans un ton encore plus accusateur, Aïssata Tall Sall déplore le fait que, malgré la clarté de la décision rendue, « au lieu de reconnaître humblement qu’ils se sont perdus, ils en sont, toute honte bue, à vouloir encore interpréter la décision du Conseil ».
Et de conclure, dans une formule latine sans équivoque : « Errare humanum est, perseverare diabolicum ! » (L’erreur est humaine, mais persévérer dans l’erreur est diabolique).