Une foule nombreuse s’est rassemblée, ce mardi matin, à la Cour d’appel de Ziguinchor, où devait se dérouler le procès d’une travailleuse du sexe poursuivie pour contamination présumée au VIH. Son arrestation a provoqué une vive polémique et de nombreuses réactions sur les réseaux sociaux.
De nationalité étrangère, la prévenue a été entendue ce mardi par le procureur. À l’issue de l’audience, le ministère public a requis une peine de deux ans de prison ferme assortie d’une amende de cinq millions de francs CFA. Il a également demandé son expulsion du territoire sénégalais après l’exécution de sa peine.
Le tribunal a rejeté la demande de mise en liberté provisoire formulée par les avocats de la défense, qui souhaitaient que leur cliente soit accueillie dans un centre spécialisé en attendant le verdict. Une requête à laquelle s’est fermement opposé le représentant du parquet, invoquant la persistance de troubles à l’ordre public liés à cette affaire.
Dans le même dossier, l’infirmière également impliquée a été entendue par le procureur, qui a requis contre elle une peine de six mois de prison avec sursis. Après les plaidoiries des avocats de la défense, le juge a renvoyé le délibéré au 02 décembre 2025.
En signe de solidarité, plusieurs professionnels de la santé se sont mobilisés devant le tribunal pour réaffirmer l’innocence de leur collègue infirmière et dénoncer ce qu’ils estiment être une stigmatisation injustifiée.
De nationalité étrangère, la prévenue a été entendue ce mardi par le procureur. À l’issue de l’audience, le ministère public a requis une peine de deux ans de prison ferme assortie d’une amende de cinq millions de francs CFA. Il a également demandé son expulsion du territoire sénégalais après l’exécution de sa peine.
Le tribunal a rejeté la demande de mise en liberté provisoire formulée par les avocats de la défense, qui souhaitaient que leur cliente soit accueillie dans un centre spécialisé en attendant le verdict. Une requête à laquelle s’est fermement opposé le représentant du parquet, invoquant la persistance de troubles à l’ordre public liés à cette affaire.
Dans le même dossier, l’infirmière également impliquée a été entendue par le procureur, qui a requis contre elle une peine de six mois de prison avec sursis. Après les plaidoiries des avocats de la défense, le juge a renvoyé le délibéré au 02 décembre 2025.
En signe de solidarité, plusieurs professionnels de la santé se sont mobilisés devant le tribunal pour réaffirmer l’innocence de leur collègue infirmière et dénoncer ce qu’ils estiment être une stigmatisation injustifiée.

