Le président du parti Rewmi, Idrissa Seck, a tenu à répondre autrement aux jeunes Apéristes qui enflamment les réseaux sociaux rien que pour défendre leur mentor, Macky Sall.
Dans ses nombreuses sorties contre le président Macky Sall et Me Abdoulaye Wade, il y a une partie qui a échappé presque à toute la presse. Pour sa réplique salée aux jeunes de l’APR, Idrissa Seck n’a été pas du tout tendre envers les « sauvageons apéristes ». « Chaque jour que Dieu fait, vous entendrez à la radio et la télévision, des jeunes Apéristes raconter du n’importe quoi sur ma personne. Mais jusqu’à présent, personne ne m’a jamais entendu répondre à ceux jeunes garçons. Pour eux, c’est un signe de faiblesse de ma part, non. Mais en réalité, ils ne savent pas la force que j’utilise pour ne répondre pas à leurs injures », déclare Ndamal Cadior.
Pour le président du Conseil départemental de Thiès, « la seule façon de répondre aux attaques des jeunes doit être une bataille psychologique qui consiste à infliger à une correction cinglante à leurs pères et non aux jeunes. Pourtant, celui qui m’a éduqué en politique, je veux nommer le président Me Abdoulaye Wade, m’a bien enseigné comment répondre aux attaques. Un jour, il m’a dit que quand un jeune t’attaque, ne lui dit rien, cherche plutôt à botter son père pour montrer au jeune garçon que tu ne boxes pas dans la même catégorie que lui. En le faisant, le jeune s’aura que tu n’es pas son alter ego. Que les autres méditent cette leçon », conclut le maire de Thiès sous les ovations et les éclats de dire de ses partisans, qui étaient venus nombreux au siège du parti.
Ibrahima Khalil DIEME
Dans ses nombreuses sorties contre le président Macky Sall et Me Abdoulaye Wade, il y a une partie qui a échappé presque à toute la presse. Pour sa réplique salée aux jeunes de l’APR, Idrissa Seck n’a été pas du tout tendre envers les « sauvageons apéristes ». « Chaque jour que Dieu fait, vous entendrez à la radio et la télévision, des jeunes Apéristes raconter du n’importe quoi sur ma personne. Mais jusqu’à présent, personne ne m’a jamais entendu répondre à ceux jeunes garçons. Pour eux, c’est un signe de faiblesse de ma part, non. Mais en réalité, ils ne savent pas la force que j’utilise pour ne répondre pas à leurs injures », déclare Ndamal Cadior.
Pour le président du Conseil départemental de Thiès, « la seule façon de répondre aux attaques des jeunes doit être une bataille psychologique qui consiste à infliger à une correction cinglante à leurs pères et non aux jeunes. Pourtant, celui qui m’a éduqué en politique, je veux nommer le président Me Abdoulaye Wade, m’a bien enseigné comment répondre aux attaques. Un jour, il m’a dit que quand un jeune t’attaque, ne lui dit rien, cherche plutôt à botter son père pour montrer au jeune garçon que tu ne boxes pas dans la même catégorie que lui. En le faisant, le jeune s’aura que tu n’es pas son alter ego. Que les autres méditent cette leçon », conclut le maire de Thiès sous les ovations et les éclats de dire de ses partisans, qui étaient venus nombreux au siège du parti.
Ibrahima Khalil DIEME