Parmi les récits les plus poignants entendus lors de la cérémonie d’hommage aux victimes de la répression du régime de Macky Sall, celui du jeune Djibril Kandé a profondément ému l’assistance. Originaire de la région de Sédhiou, le jeune étudiant est revenu sur la manifestation de Diana Malary qui a failli lui coûter la vie.
Prenant la parole, il explique : « Face à l’injustice et au complot d’État que subissait mon leader Ousmane Sonko, j’ai pris part à une manifestation contre le régime tyrannique de Macky Sall. »
Évoquant les faits, il poursuit : « Ce jour-là, un gendarme m’a identifié et m’a tiré dessus avec une balle réelle. J’ai été atteint au niveau du coude droit. Cette blessure est à l’origine de mon amputation. »
Malgré ce traumatisme et « cette double injustice », Djibril Kandé n’a pas abandonné ses études. Avec détermination, il raconte : « J’ai fait preuve de courage, j’ai dû réapprendre à écrire avec la main gauche, et j’ai obtenu mon baccalauréat en 2024. »
Aujourd’hui orienté à la Faculté de droit, ce jeune de Pakao fait face à de nombreuses difficultés, notamment liées à ses conditions d’étude et au paiement des tickets de restauration, un défi quotidien pour un étudiant devenu symbole de résilience.
Prenant la parole, il explique : « Face à l’injustice et au complot d’État que subissait mon leader Ousmane Sonko, j’ai pris part à une manifestation contre le régime tyrannique de Macky Sall. »
Évoquant les faits, il poursuit : « Ce jour-là, un gendarme m’a identifié et m’a tiré dessus avec une balle réelle. J’ai été atteint au niveau du coude droit. Cette blessure est à l’origine de mon amputation. »
Malgré ce traumatisme et « cette double injustice », Djibril Kandé n’a pas abandonné ses études. Avec détermination, il raconte : « J’ai fait preuve de courage, j’ai dû réapprendre à écrire avec la main gauche, et j’ai obtenu mon baccalauréat en 2024. »
Aujourd’hui orienté à la Faculté de droit, ce jeune de Pakao fait face à de nombreuses difficultés, notamment liées à ses conditions d’étude et au paiement des tickets de restauration, un défi quotidien pour un étudiant devenu symbole de résilience.