Le Grand Rassemblement du 8 novembre 2025 continue de susciter des réactions politiques et citoyennes. Dans un communiqué publié le 10 novembre, le Bureau politique national de PASTEF – Les Patriotes revient sur les messages clés délivrés par Ousmane Sonko, devant une foule décrite comme « debout et fière ». Au-delà des remerciements, trois messages forts ont marqué cette prise de parole : la mise en garde contre les nouveaux opportunistes du pouvoir, la transparence sur la dette publique et une clarification sans ambiguïté de la relation entre le président du parti et le chef de l’État, Bassirou Diomaye Faye.
Dans un contexte où certaines voix tentent de faire croire à une rivalité entre les deux hommes, Ousmane Sonko a choisi de clarifier publiquement les choses.
Le communiqué rapporte qu’il a « réaffirmé la force et la sincérité de sa relation avec le Président Bassirou Diomaye Faye », rappelant que le chef de l’État « n’a pas besoin de manœuvriers de la 25e heure ».
Sonko précise : « Il pourra toujours compter sur celles et ceux qui ont cru dès le départ au Projet, qui l’ont porté avec loyauté et constance, et qui ont lutté sans calcul. » Le message est clair : aucune recomposition politique opportuniste ne sera tolérée. L’alliance entre Sonko et Diomaye n’est pas à la négociation, encore moins à la récupération.
PASTEF dénonce dans ce communiqué l’arrivée d’acteurs politiques ou économiques cherchant à se greffer au pouvoir maintenant que l’alternance est acquise. La formation politique se dit prête à protéger la « victoire du peuple » contre toute instrumentalisation :
« La victoire du peuple est sacrée. Elle ne saurait être détournée ni souillée. »
Ainsi, toute tentative de captation du Projet par des acteurs n’ayant jamais pris part au combat est rejetée. L’objectif, rappelle le parti, est que la gouvernance reste entre les mains de ceux qui ont porté le changement et non de ceux qui veulent profiter du vent nouveau.
Une dette “cachée” qui dépasse 130 % du PIB
Sonko a également alerté l’opinion sur la situation économique héritée du précédent régime, évoquant une dette « massive » et dissimulée.
Selon le communiqué : « Notre nation fait face à une économie ralentie par le poids de la dette colossale cachée par l’ancien régime et qui dépasse aujourd’hui plus de 130 % du PIB. »
PASTEF dénonce « une gestion opaque et irresponsable » et appelle les Sénégalais à se préparer à des choix difficiles pour remettre l’économie sur les rails. Face à cette réalité, Sonko affirme avoir présenté les bases du Plan de redressement économique et social (PRES), un programme tourné vers « le développement endogène, la transparence et la justice sociale ».
« Ce peuple qui a adhéré au Projet pour une transformation radicale du Sénégal est capable de faire les sacrifices nécessaires pour des lendemains meilleurs. »
Dans un contexte où certaines voix tentent de faire croire à une rivalité entre les deux hommes, Ousmane Sonko a choisi de clarifier publiquement les choses.
Le communiqué rapporte qu’il a « réaffirmé la force et la sincérité de sa relation avec le Président Bassirou Diomaye Faye », rappelant que le chef de l’État « n’a pas besoin de manœuvriers de la 25e heure ».
Sonko précise : « Il pourra toujours compter sur celles et ceux qui ont cru dès le départ au Projet, qui l’ont porté avec loyauté et constance, et qui ont lutté sans calcul. » Le message est clair : aucune recomposition politique opportuniste ne sera tolérée. L’alliance entre Sonko et Diomaye n’est pas à la négociation, encore moins à la récupération.
PASTEF dénonce dans ce communiqué l’arrivée d’acteurs politiques ou économiques cherchant à se greffer au pouvoir maintenant que l’alternance est acquise. La formation politique se dit prête à protéger la « victoire du peuple » contre toute instrumentalisation :
« La victoire du peuple est sacrée. Elle ne saurait être détournée ni souillée. »
Ainsi, toute tentative de captation du Projet par des acteurs n’ayant jamais pris part au combat est rejetée. L’objectif, rappelle le parti, est que la gouvernance reste entre les mains de ceux qui ont porté le changement et non de ceux qui veulent profiter du vent nouveau.
Une dette “cachée” qui dépasse 130 % du PIB
Sonko a également alerté l’opinion sur la situation économique héritée du précédent régime, évoquant une dette « massive » et dissimulée.
Selon le communiqué : « Notre nation fait face à une économie ralentie par le poids de la dette colossale cachée par l’ancien régime et qui dépasse aujourd’hui plus de 130 % du PIB. »
PASTEF dénonce « une gestion opaque et irresponsable » et appelle les Sénégalais à se préparer à des choix difficiles pour remettre l’économie sur les rails. Face à cette réalité, Sonko affirme avoir présenté les bases du Plan de redressement économique et social (PRES), un programme tourné vers « le développement endogène, la transparence et la justice sociale ».
« Ce peuple qui a adhéré au Projet pour une transformation radicale du Sénégal est capable de faire les sacrifices nécessaires pour des lendemains meilleurs. »