Après plusieurs jours d’interrogations, de rumeurs insistantes et d’analyses enflammées, Ousmane Sonko a enfin levé le voile sur sa supposée brouille avec le président Bassirou Diomaye Faye. Interpellé ce vendredi à l’Assemblée nationale, le Premier ministre a tenu à clarifier publiquement la nature de sa relation avec le chef de l’État, qu’il a décrit comme son « ami ».
Devant les députés, Sonko a voulu rassurer : « Je veux apaiser tout le monde. Il n’y a rien entre nous. Il y avait un besoin de clarification et il fallait que nous posions des actes menant à cette clarification. Désormais, tout est clair », a-t-il affirmé, cherchant à refermer un épisode qui a cristallisé une partie du débat public.
Une brouille née d’un choix politique contesté
Selon plusieurs sources internes, la tension entre les deux hommes trouve son origine dans le limogeage d’Aïda Mbodji de la tête de la coalition, désormais confiée à Aminata Touré. Un choix opéré directement par le président Bassirou Diomaye Faye, mais contesté par Ousmane Sonko, également président du parti Pastef. Cette décision a nourri des crispations inédites au sommet de la majorité, donnant l’image d’un exécutif traversé par des divergences stratégiques.
L’épisode a rapidement alimenté les spéculations : rivalités d’influence, désaccords sur l’orientation politique de la coalition, lecture divergente du leadership au sein du pouvoir. Autant d’éléments qui ont installé un climat de doute au sein de l’opinion et des bases militantes.
Sonko tente de refermer la parenthèse
En réaffirmant la solidité de sa relation avec le chef de l’État, Ousmane Sonko tente désormais de ramener le calme au sommet de l’exécutif. Selon lui, les échanges récents n’avaient rien d’un conflit personnel, mais relevaient du fonctionnement normal d’une équipe dirigeante confrontée à des choix structurants.
Reste à savoir si cette déclaration officielle suffira à clore définitivement le chapitre. Car au sein de la majorité, les observateurs continueront sans doute de scruter les signaux, les décisions et la dynamique du tandem Diomaye–Sonko, désormais placé au cœur de toutes les attentions.
Pour l’heure, l’exécutif affiche l’unité retrouvée. Et Ousmane Sonko, d’un ton ferme, tient à dissiper toute interprétation malveillante : « Il n’y a rien entre nous. Tout est clair. »
Devant les députés, Sonko a voulu rassurer : « Je veux apaiser tout le monde. Il n’y a rien entre nous. Il y avait un besoin de clarification et il fallait que nous posions des actes menant à cette clarification. Désormais, tout est clair », a-t-il affirmé, cherchant à refermer un épisode qui a cristallisé une partie du débat public.
Une brouille née d’un choix politique contesté
Selon plusieurs sources internes, la tension entre les deux hommes trouve son origine dans le limogeage d’Aïda Mbodji de la tête de la coalition, désormais confiée à Aminata Touré. Un choix opéré directement par le président Bassirou Diomaye Faye, mais contesté par Ousmane Sonko, également président du parti Pastef. Cette décision a nourri des crispations inédites au sommet de la majorité, donnant l’image d’un exécutif traversé par des divergences stratégiques.
L’épisode a rapidement alimenté les spéculations : rivalités d’influence, désaccords sur l’orientation politique de la coalition, lecture divergente du leadership au sein du pouvoir. Autant d’éléments qui ont installé un climat de doute au sein de l’opinion et des bases militantes.
Sonko tente de refermer la parenthèse
En réaffirmant la solidité de sa relation avec le chef de l’État, Ousmane Sonko tente désormais de ramener le calme au sommet de l’exécutif. Selon lui, les échanges récents n’avaient rien d’un conflit personnel, mais relevaient du fonctionnement normal d’une équipe dirigeante confrontée à des choix structurants.
Reste à savoir si cette déclaration officielle suffira à clore définitivement le chapitre. Car au sein de la majorité, les observateurs continueront sans doute de scruter les signaux, les décisions et la dynamique du tandem Diomaye–Sonko, désormais placé au cœur de toutes les attentions.
Pour l’heure, l’exécutif affiche l’unité retrouvée. Et Ousmane Sonko, d’un ton ferme, tient à dissiper toute interprétation malveillante : « Il n’y a rien entre nous. Tout est clair. »