Dans un live fait ce vendredi, le leader de PASTEF , Ousmane Sonko n'a pas raté la mouvance président qui de plus en plus perd la bataille de l'opinion. Dans cette déclaration d'une vingtaine de minute Sonko mouille la république.
. « Ce jour-là, des individus ont fragilisé les vis de trois pneus de la voiture dans laquelle j’étais en allant à la manifestation. Par chance, nous avons roulé avec une petite vitesse en rentrant et d’ailleurs, je n’étais pas dans cette voiture ». Ousmane Sonko a déclaré ne pas être surpris d’autant plus qu’un individu a appelé à le tuer (Ndlr : il fait allusion à la récente sortie controversée de Hamath Suzanne Camara).
« La justice Sénégalaise est devenue le bras politique d'un parti et d'une famille(...) Nous faisons face à une justice à double vitesse parce que si le monsieur qui a appelé à me tuer faisait partie de l’opposition, il serait en prison au moment où je parle » poursuit-il. Ousmane Sonko a dans la même dynamique apporté son soutien à Cheikh Abdou Mbacké Bara Dolly qui a été placé sous mandat de dépôt ce vendredi. « Des personnes qui pourtant ont dit des choses plus graves sont toujours en liberté et dans ce pays les insulteurs sont du côté du pouvoir ».
. « Ce jour-là, des individus ont fragilisé les vis de trois pneus de la voiture dans laquelle j’étais en allant à la manifestation. Par chance, nous avons roulé avec une petite vitesse en rentrant et d’ailleurs, je n’étais pas dans cette voiture ». Ousmane Sonko a déclaré ne pas être surpris d’autant plus qu’un individu a appelé à le tuer (Ndlr : il fait allusion à la récente sortie controversée de Hamath Suzanne Camara).
« La justice Sénégalaise est devenue le bras politique d'un parti et d'une famille(...) Nous faisons face à une justice à double vitesse parce que si le monsieur qui a appelé à me tuer faisait partie de l’opposition, il serait en prison au moment où je parle » poursuit-il. Ousmane Sonko a dans la même dynamique apporté son soutien à Cheikh Abdou Mbacké Bara Dolly qui a été placé sous mandat de dépôt ce vendredi. « Des personnes qui pourtant ont dit des choses plus graves sont toujours en liberté et dans ce pays les insulteurs sont du côté du pouvoir ».