Le Khalife général de Bambilor, Thierno Amadou Ba, est intervenu publiquement pour appeler à la retenue, à la lucidité et au sens de l’État, dans un contexte marqué par les tensions et interrogations autour du duo Président Bassirou Diomaye Faye – Premier ministre Ousmane Sonko. Dans un message empreint de spiritualité, il a invité la classe politique et l’ensemble des citoyens à préserver l’unité nationale.
Dès les premières lignes de son texte, le Khalife donne le ton, rappelant la gravité du moment : « En ces jours où notre nation traverse des incertitudes… Le Sénégal, notre bien commun, vit un moment délicat », a-t-il observé. Il précise que son intention n’est pas d’alimenter les clivages, mais de « lancer un appel à un sursaut de conscience et de fraternité », a-t-il souligné, en s’adressant « à chaque fille et à chaque fils » du pays.
Évoquant les interrogations autour du tandem Diomaye–Sonko, il rappelle qu’il ne souhaite ni arbitrer ni juger les dynamiques politiques. Toutefois, il met en garde contre les divisions : « Je suis témoin d’un climat où les cœurs risquent de se durcir et les esprits de se diviser », a-t-il averti. Il insiste ensuite sur le véritable enjeu : « L’essentiel n’est pas la victoire d’un camp sur un autre. L’essentiel, c’est le Sénégal », a-t-il affirmé. Il a cité, pour appuyer son propos, les paroles divines : « Et attachez-vous tous ensemble au câble d’Allah, et ne vous divisez pas », a-t-il rappelé avant d’ajouter que « Certes, Allah aime ceux qui agissent avec équité ».
Messages ciblés aux acteurs politiques, citoyens et guides religieux
Le Khalife a ensuite délivré plusieurs recommandations précises à différentes composantes du pays. Aux opposants, il lance : « Que votre critique soit une lumière, pas un incendie », a-t-il conseillé. Aux responsables au pouvoir, il rappelle que « l’unité qui vous a portés ne doit pas se perdre dans les influences et les doutes », a-t-il mis en garde.
Aux citoyens, il demande de « garder leur vigilance » tout en « préservant leur cœur », leur exhortant de « refuser la haine et les divisions », a-t-il ajouté. Aux guides religieux, il rappelle la responsabilité morale qui leur incombe : « Nous devons être des ponts, jamais des murs », a-t-il insisté.
Thierno Amadou Ba a également insisté sur la puissance destructrice des mots à l’ère numérique :
« Une parole mal intentionnée, un montage, une rumeur ou une colère publique peuvent désormais embraser un pays en quelques heures », a-t-il alerté. Selon lui, la liberté d’expression doit rester un espace de vérité et non « un carburant pour la discorde », a-t-il regretté.
Malgré ses mises en garde, le Khalife appelle à garder espoir. « Le Sénégal a toujours trouvé la lumière au bout du tunnel », a-t-il rassuré, rappelant que l’histoire nationale est marquée par des résiliences collectives. Il insiste sur la nécessité de revenir aux intentions nobles : « Demain, nous rendrons tous compte… non sur nos appartenances, mais sur notre contribution à la paix », a-t-il dit.
Un message direct au Président et au Premier ministre
Dans la dernière partie de son message, le guide religieux s’adresse nommément aux dirigeants :
« À vous, Président Bassirou Diomaye Faye… À vous, Premier ministre Ousmane Sonko… », a-t-il interpellé avec gravité. Il leur rappelle que « le destin du Sénégal n’appartient à aucun homme, à aucun duo, à aucun camp », a-t-il rappelé, soulignant que les attentes du peuple reposent moins sur la perfection que sur « la hauteur », a-t-il insisté. L’appel se fait alors plus pressant : « Revoyez vos positions. Réécoutez vos cœurs. Faites ce geste qui peut ramener la sérénité », a-t-il exhorté. Il met en garde contre les silences dangereux : « Un pays ne tombe jamais d’un seul coup. Il tombe lorsque ceux qui peuvent l’apaiser choisissent de se taire », a-t-il averti.
Dès les premières lignes de son texte, le Khalife donne le ton, rappelant la gravité du moment : « En ces jours où notre nation traverse des incertitudes… Le Sénégal, notre bien commun, vit un moment délicat », a-t-il observé. Il précise que son intention n’est pas d’alimenter les clivages, mais de « lancer un appel à un sursaut de conscience et de fraternité », a-t-il souligné, en s’adressant « à chaque fille et à chaque fils » du pays.
Évoquant les interrogations autour du tandem Diomaye–Sonko, il rappelle qu’il ne souhaite ni arbitrer ni juger les dynamiques politiques. Toutefois, il met en garde contre les divisions : « Je suis témoin d’un climat où les cœurs risquent de se durcir et les esprits de se diviser », a-t-il averti. Il insiste ensuite sur le véritable enjeu : « L’essentiel n’est pas la victoire d’un camp sur un autre. L’essentiel, c’est le Sénégal », a-t-il affirmé. Il a cité, pour appuyer son propos, les paroles divines : « Et attachez-vous tous ensemble au câble d’Allah, et ne vous divisez pas », a-t-il rappelé avant d’ajouter que « Certes, Allah aime ceux qui agissent avec équité ».
Messages ciblés aux acteurs politiques, citoyens et guides religieux
Le Khalife a ensuite délivré plusieurs recommandations précises à différentes composantes du pays. Aux opposants, il lance : « Que votre critique soit une lumière, pas un incendie », a-t-il conseillé. Aux responsables au pouvoir, il rappelle que « l’unité qui vous a portés ne doit pas se perdre dans les influences et les doutes », a-t-il mis en garde.
Aux citoyens, il demande de « garder leur vigilance » tout en « préservant leur cœur », leur exhortant de « refuser la haine et les divisions », a-t-il ajouté. Aux guides religieux, il rappelle la responsabilité morale qui leur incombe : « Nous devons être des ponts, jamais des murs », a-t-il insisté.
Thierno Amadou Ba a également insisté sur la puissance destructrice des mots à l’ère numérique :
« Une parole mal intentionnée, un montage, une rumeur ou une colère publique peuvent désormais embraser un pays en quelques heures », a-t-il alerté. Selon lui, la liberté d’expression doit rester un espace de vérité et non « un carburant pour la discorde », a-t-il regretté.
Malgré ses mises en garde, le Khalife appelle à garder espoir. « Le Sénégal a toujours trouvé la lumière au bout du tunnel », a-t-il rassuré, rappelant que l’histoire nationale est marquée par des résiliences collectives. Il insiste sur la nécessité de revenir aux intentions nobles : « Demain, nous rendrons tous compte… non sur nos appartenances, mais sur notre contribution à la paix », a-t-il dit.
Un message direct au Président et au Premier ministre
Dans la dernière partie de son message, le guide religieux s’adresse nommément aux dirigeants :
« À vous, Président Bassirou Diomaye Faye… À vous, Premier ministre Ousmane Sonko… », a-t-il interpellé avec gravité. Il leur rappelle que « le destin du Sénégal n’appartient à aucun homme, à aucun duo, à aucun camp », a-t-il rappelé, soulignant que les attentes du peuple reposent moins sur la perfection que sur « la hauteur », a-t-il insisté. L’appel se fait alors plus pressant : « Revoyez vos positions. Réécoutez vos cœurs. Faites ce geste qui peut ramener la sérénité », a-t-il exhorté. Il met en garde contre les silences dangereux : « Un pays ne tombe jamais d’un seul coup. Il tombe lorsque ceux qui peuvent l’apaiser choisissent de se taire », a-t-il averti.