« Si l’agenda de l’opposition consiste à prédire qu’il y aura tôt ou tard des problèmes entre Sonko et moi, qu’elle sache que les divergences sont naturelles, même entre frères, sœurs ou couples. Elles sont néanmoins évitables. »
C’est par ces mots que le président Bassirou Diomaye Faye répondait, le 13 juillet 2024, lors de sa première conférence de presse accordée aux médias nationaux, à ceux qui spéculaient déjà sur une rupture avec son Premier ministre.
Un an plus tard, Ousmane Sonko fait une sortie remarquée à l’occasion de l’installation du Conseil national de Pastef, en pointant un « problème d’autorité » au sommet de l’État. Face aux cadres de son parti, le chef du gouvernement n’a pas mâché ses mots :
« Qu’on me laisse gouverner ! »
Une déclaration forte, traduisant une frustration face aux blocages rencontrés dans l’exercice du pouvoir exécutif.
Malgré cette tension apparente, le président Diomaye Faye ne semble pas ébranlé par les critiques de son Premier ministre. Il avait lui-même souligné, un an auparavant, la solidité de leur relation, née d’un engagement commun et forgée dans l’épreuve.
« J’encourage Sonko à se concentrer pleinement sur ses responsabilités. Il possède les compétences nécessaires. J’ai grandi à ses côtés pendant dix ans. Mon importance personnelle ne peut surpasser les aspirations du peuple sénégalais. »
Ce lien particulier, nourri notamment par une expérience carcérale partagée, reste à ce jour le socle de leur collaboration. La formule « Sonko moy Diomaye, Diomaye moy Sonko », bien plus qu’un slogan politique, semble incarner une volonté de coopération étroite et d’unité stratégique au service des objectifs du Sénégal.
REGARDEZ
C’est par ces mots que le président Bassirou Diomaye Faye répondait, le 13 juillet 2024, lors de sa première conférence de presse accordée aux médias nationaux, à ceux qui spéculaient déjà sur une rupture avec son Premier ministre.
Un an plus tard, Ousmane Sonko fait une sortie remarquée à l’occasion de l’installation du Conseil national de Pastef, en pointant un « problème d’autorité » au sommet de l’État. Face aux cadres de son parti, le chef du gouvernement n’a pas mâché ses mots :
« Qu’on me laisse gouverner ! »
Une déclaration forte, traduisant une frustration face aux blocages rencontrés dans l’exercice du pouvoir exécutif.
Malgré cette tension apparente, le président Diomaye Faye ne semble pas ébranlé par les critiques de son Premier ministre. Il avait lui-même souligné, un an auparavant, la solidité de leur relation, née d’un engagement commun et forgée dans l’épreuve.
« J’encourage Sonko à se concentrer pleinement sur ses responsabilités. Il possède les compétences nécessaires. J’ai grandi à ses côtés pendant dix ans. Mon importance personnelle ne peut surpasser les aspirations du peuple sénégalais. »
Ce lien particulier, nourri notamment par une expérience carcérale partagée, reste à ce jour le socle de leur collaboration. La formule « Sonko moy Diomaye, Diomaye moy Sonko », bien plus qu’un slogan politique, semble incarner une volonté de coopération étroite et d’unité stratégique au service des objectifs du Sénégal.
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