La Division spéciale de cybersécurité (DSC) a frappé un coup d’arrêt à une dérive devenue emblématique des abus sur les réseaux sociaux. Cheikh Ahmadou Sakho, 21 ans, connu sur TikTok sous le pseudonyme volontairement provocateur de « Saflé k…, meune K… », a été interpellé puis déféré ce vendredi pour outrage public à la pudeur, diffusion d’images contraires aux bonnes mœurs et racolage actif en ligne.
Selon Libération, l’affaire s’inscrit dans le cadre de la veille numérique permanente exercée par la DSC sur les plateformes sociales. Les enquêteurs ont repéré un compte TikTok très suivi, animé presque exclusivement la nuit, dont les contenus explicites franchissaient largement les limites de la décence et de la légalité.
D’un compte sportif à une vitrine obscène
L’enquête a mis au jour une mutation numérique progressive mais assumée. À l’origine, le compte – alors dénommé « Frankie De Jong » – diffusait des contenus liés à l’actualité sportive. Mais après des incursions répétées dans des cercles érotiques en ligne, son animateur a opéré un virage radical, changeant d’identité numérique et de ligne éditoriale dans un objectif clair : maximiser l’audience par la provocation sexuelle.
Une fois la barre symbolique des mille abonnés franchie, Cheikh Ahmadou Sakho a lancé ses propres « lives », diffusés entre 1 heure et 2 heures du matin. Durant ces sessions, il s’exhibait de manière explicite, ciblant un public féminin, tout en affichant son numéro WhatsApp afin de faciliter des contacts privés susceptibles de déboucher sur des rencontres sexuelles.
Grâce aux investigations techniques, la DSC a pu localiser le mis en cause à Golf Sud, où il a été interpellé. Confronté aux éléments réunis contre lui, il est passé aux aveux. Il a reconnu avoir agi dans l’espoir d’obtenir des faveurs sexuelles de la part de certaines spectatrices. S’il affirme n’avoir jamais concrétisé de rencontres physiques, il admet toutefois avoir reçu de nombreuses sollicitations explicites via sa messagerie privée.
L’enquête ne s’arrête pas à cette arrestation. Selon la même source, les enquêteurs élargissent désormais leurs investigations aux utilisatrices ayant participé activement aux directs ou ayant contacté le mis en cause pour des « plans », qu’ils soient tarifés ou non. Ces profils sont désormais dans le viseur de la DSC, dans une volonté affichée de tarir l’écosystème numérique qui favorise ce type de dérives.
Selon Libération, l’affaire s’inscrit dans le cadre de la veille numérique permanente exercée par la DSC sur les plateformes sociales. Les enquêteurs ont repéré un compte TikTok très suivi, animé presque exclusivement la nuit, dont les contenus explicites franchissaient largement les limites de la décence et de la légalité.
D’un compte sportif à une vitrine obscène
L’enquête a mis au jour une mutation numérique progressive mais assumée. À l’origine, le compte – alors dénommé « Frankie De Jong » – diffusait des contenus liés à l’actualité sportive. Mais après des incursions répétées dans des cercles érotiques en ligne, son animateur a opéré un virage radical, changeant d’identité numérique et de ligne éditoriale dans un objectif clair : maximiser l’audience par la provocation sexuelle.
Une fois la barre symbolique des mille abonnés franchie, Cheikh Ahmadou Sakho a lancé ses propres « lives », diffusés entre 1 heure et 2 heures du matin. Durant ces sessions, il s’exhibait de manière explicite, ciblant un public féminin, tout en affichant son numéro WhatsApp afin de faciliter des contacts privés susceptibles de déboucher sur des rencontres sexuelles.
Grâce aux investigations techniques, la DSC a pu localiser le mis en cause à Golf Sud, où il a été interpellé. Confronté aux éléments réunis contre lui, il est passé aux aveux. Il a reconnu avoir agi dans l’espoir d’obtenir des faveurs sexuelles de la part de certaines spectatrices. S’il affirme n’avoir jamais concrétisé de rencontres physiques, il admet toutefois avoir reçu de nombreuses sollicitations explicites via sa messagerie privée.
L’enquête ne s’arrête pas à cette arrestation. Selon la même source, les enquêteurs élargissent désormais leurs investigations aux utilisatrices ayant participé activement aux directs ou ayant contacté le mis en cause pour des « plans », qu’ils soient tarifés ou non. Ces profils sont désormais dans le viseur de la DSC, dans une volonté affichée de tarir l’écosystème numérique qui favorise ce type de dérives.