Accusé d'étre le cerveau de la tuerie de Boffo Bayotte, notre confrère René Capain Bassène a fait face au juge aujourd'hui. Il a démoli les accusations des gendarmes.
Le journaliste d’investigation, René Capin Bassène, n’a pas caché encore moins nié ses relations avec César Atoute Badiatte. « J’ai de parfaites relations avec lui, sans intermédiaire. C’est d’ailleurs la raison pour laquelle des officiers de l’armée ont souhaité passer par moi pour entrer en contact avec César Atoute Badiatte à la fin d’une issue pacifique de ce conflit armé », fait savoir le principal accusé selon l’enquête préliminaire de ce carnage qui a fait 14 morts, le 6 janvier 2018.
Informé de la tuerie, il dit mettre en œuvre son flair de journaliste. Il a commencé à émettre des appels. « J’ai émis des coups de fil pour avoir plus d’informations, j’ai appelé des journalistes, des observateurs de cette crise, j’ai aussi appelé César Atoute Badiatte pour lui demander si ses hommes seraient les auteurs du carnage, il m'a répondu par la négative. Voilà comment j’ai reçu l’information. Par contre, j’avais eu écho que des jeunes combattants du MFDC préparaient une action qui peut aboutir à des morts d’hommes. J’ai alerté... », rappelle-t-il.
Le journaliste d’investigation, René Capin Bassène, n’a pas caché encore moins nié ses relations avec César Atoute Badiatte. « J’ai de parfaites relations avec lui, sans intermédiaire. C’est d’ailleurs la raison pour laquelle des officiers de l’armée ont souhaité passer par moi pour entrer en contact avec César Atoute Badiatte à la fin d’une issue pacifique de ce conflit armé », fait savoir le principal accusé selon l’enquête préliminaire de ce carnage qui a fait 14 morts, le 6 janvier 2018.
Informé de la tuerie, il dit mettre en œuvre son flair de journaliste. Il a commencé à émettre des appels. « J’ai émis des coups de fil pour avoir plus d’informations, j’ai appelé des journalistes, des observateurs de cette crise, j’ai aussi appelé César Atoute Badiatte pour lui demander si ses hommes seraient les auteurs du carnage, il m'a répondu par la négative. Voilà comment j’ai reçu l’information. Par contre, j’avais eu écho que des jeunes combattants du MFDC préparaient une action qui peut aboutir à des morts d’hommes. J’ai alerté... », rappelle-t-il.