La coalition DJONE a annoncé, ce mardi 13 mai 2025, qu’elle ne participera pas au dialogue national convoqué pour le 28 mai par le président Bassirou Diomaye Faye. Dans un communiqué transmis à la presse, elle justifie son retrait par une série de « constats graves et préoccupants » qui, selon elle, compromettent les principes républicains au Sénégal.
« La coalition DJONE tient à informer l’opinion publique nationale et internationale de sa décision de ne pas participer au dialogue national convoqué le 28 mai 2025 par le président Bassirou Diomaye Faye », déclare le coordonnateur national Mohamed Moustapha Diagne. Il souligne que cette décision repose sur une situation jugée alarmante, notamment sur le plan des libertés démocratiques.
Parmi les griefs avancés, figure un traitement jugé méprisant envers les forces d’opposition. « Un manque de respect notoire vis-à-vis de l’opposition, qualifiée publiquement de "résidu", en violation flagrante des principes élémentaires de courtoisie républicaine et de pluralisme politique », déplore la coalition.
Autre point de crispation : les nombreuses arrestations qui ciblent les voix critiques du régime. « Des emprisonnements tous azimuts d’opposants politiques, d’hommes d’affaires et de chroniqueurs, traduisant une volonté manifeste de museler les voix dissidentes au lieu d’ouvrir des espaces de débat démocratique », poursuit Mohamed Moustapha Diagne.
La coalition s’inquiète également du traitement réservé à la presse. « La non-reconnaissance arbitraire de plusieurs organes de presse par le ministère de la Communication constitue une entrave grave à la liberté de la presse et à l'expression plurielle », estime-t-elle.
La coalition DJONE affirme que « ces dérives, parmi d’autres que nous continuons de documenter, sont incompatibles avec l’esprit de culture de la démocratie et de l'État de droit dans une République aussi respectable que le Sénégal ».
« La coalition DJONE tient à informer l’opinion publique nationale et internationale de sa décision de ne pas participer au dialogue national convoqué le 28 mai 2025 par le président Bassirou Diomaye Faye », déclare le coordonnateur national Mohamed Moustapha Diagne. Il souligne que cette décision repose sur une situation jugée alarmante, notamment sur le plan des libertés démocratiques.
Parmi les griefs avancés, figure un traitement jugé méprisant envers les forces d’opposition. « Un manque de respect notoire vis-à-vis de l’opposition, qualifiée publiquement de "résidu", en violation flagrante des principes élémentaires de courtoisie républicaine et de pluralisme politique », déplore la coalition.
Autre point de crispation : les nombreuses arrestations qui ciblent les voix critiques du régime. « Des emprisonnements tous azimuts d’opposants politiques, d’hommes d’affaires et de chroniqueurs, traduisant une volonté manifeste de museler les voix dissidentes au lieu d’ouvrir des espaces de débat démocratique », poursuit Mohamed Moustapha Diagne.
La coalition s’inquiète également du traitement réservé à la presse. « La non-reconnaissance arbitraire de plusieurs organes de presse par le ministère de la Communication constitue une entrave grave à la liberté de la presse et à l'expression plurielle », estime-t-elle.
La coalition DJONE affirme que « ces dérives, parmi d’autres que nous continuons de documenter, sont incompatibles avec l’esprit de culture de la démocratie et de l'État de droit dans une République aussi respectable que le Sénégal ».