Le Premier ministre Ousmane Sonko a présidé, ce lundi, la cérémonie d’installation du comité de pilotage chargé de la réforme du Code général des Impôts (CGI). La rencontre s’est tenue en présence de plusieurs membres du gouvernement et de hauts responsables administratifs, traduisant la volonté politique de porter cette réforme à un niveau stratégique.
Parmi les autorités présentes figuraient le ministre de l’Énergie, du Pétrole et des Mines, le ministre des Finances et du Budget, le ministre du Commerce et de l’Industrie, le ministre des Sports, ainsi que le ministre Secrétaire général du Gouvernement. Étaient également conviés les directeurs généraux de l’APIX, de la DGID, des Douanes, du BOCS et de l’ANSD.
Cette réforme, qualifiée de structurante, a été introduite de manière claire et pédagogique par El Hadj Ibrahima Diop, conseiller spécial du Premier ministre. Elle vise à repenser en profondeur le système fiscal sénégalais pour mieux répondre aux exigences d’une économie moderne et inclusive.
Quatre grands objectifs structurent cette initiative : Moderniser et simplifier le Code général des Impôts pour en améliorer l’accessibilité et l’efficacité ; Intégrer les spécificités des secteurs émergents, notamment l’économie numérique, encore peu encadrée fiscalement ;
Élargir l’assiette fiscale sans augmenter les taux, afin d’accroître les recettes de l’État de manière équitable et soutenable ; Harmoniser et évaluer les dispositifs existants, pour une meilleure cohérence d’ensemble des instruments fiscaux.
Le Premier ministre a salué l’engagement collectif autour de cette réforme et a réaffirmé son importance stratégique. « Il ne s’agit pas simplement de réviser un texte, mais d’accompagner un changement de paradigme dans notre gouvernance économique et fiscale », a-t-il déclaré.
Parmi les autorités présentes figuraient le ministre de l’Énergie, du Pétrole et des Mines, le ministre des Finances et du Budget, le ministre du Commerce et de l’Industrie, le ministre des Sports, ainsi que le ministre Secrétaire général du Gouvernement. Étaient également conviés les directeurs généraux de l’APIX, de la DGID, des Douanes, du BOCS et de l’ANSD.
Cette réforme, qualifiée de structurante, a été introduite de manière claire et pédagogique par El Hadj Ibrahima Diop, conseiller spécial du Premier ministre. Elle vise à repenser en profondeur le système fiscal sénégalais pour mieux répondre aux exigences d’une économie moderne et inclusive.
Quatre grands objectifs structurent cette initiative : Moderniser et simplifier le Code général des Impôts pour en améliorer l’accessibilité et l’efficacité ; Intégrer les spécificités des secteurs émergents, notamment l’économie numérique, encore peu encadrée fiscalement ;
Élargir l’assiette fiscale sans augmenter les taux, afin d’accroître les recettes de l’État de manière équitable et soutenable ; Harmoniser et évaluer les dispositifs existants, pour une meilleure cohérence d’ensemble des instruments fiscaux.
Le Premier ministre a salué l’engagement collectif autour de cette réforme et a réaffirmé son importance stratégique. « Il ne s’agit pas simplement de réviser un texte, mais d’accompagner un changement de paradigme dans notre gouvernance économique et fiscale », a-t-il déclaré.