Les enquêtes ouvertes dans le cadre de la reddition des comptes initiée par les nouvelles autorités ne se limitent pas aux dignitaires de l'ancien régime. Les personnes qui auraient servi de prête-noms sont également dans le collimateur de la justice. Le parquet financier a engagé des poursuites contre ces dernières.
D'après le journal *Libération*, qui relaie l'information, le procureur a « ordonné une enquête pour faire la lumière sur d'importantes cessions foncières effectuées au profit de Sociétés civiles immobilières (Sci) sur des sites tels que celui appelé 'Boa', où toutes les opérations ont été suspendues ».
Une trentaine de Sci seraient impliquées, selon le quotidien, qui ajoute que la justice soupçonne que les dirigeants déclarés de ces entreprises ne soient pas les véritables propriétaires. Toujours selon la même source, ces Sci serviraient à défendre « les intérêts d'anciens dignitaires du régime, de leurs proches, voire de leurs enfants dans certains cas ».
D'après le journal *Libération*, qui relaie l'information, le procureur a « ordonné une enquête pour faire la lumière sur d'importantes cessions foncières effectuées au profit de Sociétés civiles immobilières (Sci) sur des sites tels que celui appelé 'Boa', où toutes les opérations ont été suspendues ».
Une trentaine de Sci seraient impliquées, selon le quotidien, qui ajoute que la justice soupçonne que les dirigeants déclarés de ces entreprises ne soient pas les véritables propriétaires. Toujours selon la même source, ces Sci serviraient à défendre « les intérêts d'anciens dignitaires du régime, de leurs proches, voire de leurs enfants dans certains cas ».