Alors que la pratique du jeûne de ramadan par les joueurs est un sujet épineux dans les grands championnats européens, l’international espagnol d’origine marocaine s’est livré sur son cas personnel au FC Barcelone.
International espagnol depuis septembre 2023 (17 capes, 3 buts), Lamine Yamal a hérité de la confession musulmane de son père marocain Mounir Nasraoui. L’astre de 17 ans, sacré champion d’Europe l’année passée avec la Roja, pratique actuellement de ce fait le jeûne du ramadan qui court du 1er jusqu’au 30 mars.
Souvent en proie aux aprioris concernant son supposé impact négatif sur le rendement des joueurs, le jeûne fait l’objet de crispations entre les premiers acteurs sur le terrain et leurs encadrements techniques voire la direction de leurs clubs respectifs. Le cas du latéral international algérien Jaouen Hadjam (4 capes), écarté à Nantes il y a deux ans par son ex-entraîneur Antoine Kombouaré, en est une parfaite illustration.
“Je bois quelque chose”
Devenu ce mardi le plus jeune joueur à marquer et inscrire une passe décisive dans un même match en Ligue des champions avec le Barça contre Benfica (3-1), les performances de Yamal ne sont visiblement pas en baisse. Dans un entretien pour DAZN, le phénomène de précocité a livré les secrets de sa recette personnelle.
“Oui, il s’agit de votre foi en votre religion, et je crois en ma religion, et je suis en assez bonne santé pour jeûner. Je me réveille à 5 heures du matin pour prier et je bois quelque chose avec des électrolytes car ils aident le corps à rester hydraté tout au long de la journée.”
“Le jeûne n’affecte pas mes performances”, a-t-il ajouté. En outre, le natif d’Esplugues de Llobregat bénéficie de tout le soutien de son club. “Le club est entièrement préparé à cela et nous fournit tout ce dont nous avons besoin pour pouvoir performer à 100%”, témoigne-t-il. Certaines écuries seraient bien inspirées d’en prendre de la graine.
Afrikfoot
International espagnol depuis septembre 2023 (17 capes, 3 buts), Lamine Yamal a hérité de la confession musulmane de son père marocain Mounir Nasraoui. L’astre de 17 ans, sacré champion d’Europe l’année passée avec la Roja, pratique actuellement de ce fait le jeûne du ramadan qui court du 1er jusqu’au 30 mars.
Souvent en proie aux aprioris concernant son supposé impact négatif sur le rendement des joueurs, le jeûne fait l’objet de crispations entre les premiers acteurs sur le terrain et leurs encadrements techniques voire la direction de leurs clubs respectifs. Le cas du latéral international algérien Jaouen Hadjam (4 capes), écarté à Nantes il y a deux ans par son ex-entraîneur Antoine Kombouaré, en est une parfaite illustration.
“Je bois quelque chose”
Devenu ce mardi le plus jeune joueur à marquer et inscrire une passe décisive dans un même match en Ligue des champions avec le Barça contre Benfica (3-1), les performances de Yamal ne sont visiblement pas en baisse. Dans un entretien pour DAZN, le phénomène de précocité a livré les secrets de sa recette personnelle.
“Oui, il s’agit de votre foi en votre religion, et je crois en ma religion, et je suis en assez bonne santé pour jeûner. Je me réveille à 5 heures du matin pour prier et je bois quelque chose avec des électrolytes car ils aident le corps à rester hydraté tout au long de la journée.”
“Le jeûne n’affecte pas mes performances”, a-t-il ajouté. En outre, le natif d’Esplugues de Llobregat bénéficie de tout le soutien de son club. “Le club est entièrement préparé à cela et nous fournit tout ce dont nous avons besoin pour pouvoir performer à 100%”, témoigne-t-il. Certaines écuries seraient bien inspirées d’en prendre de la graine.
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