L’État-Major général des Forces armées de la République démocratique du Congo (FARDC) a annoncé, ce samedi 28 décembre 2025, la suspension du Général-major Ekenge Bomusa Efomi Sylvain de ses fonctions de porte-parole de l’armée. Cette décision fait suite à des propos tenus la veille sur les antennes de la Radio-Télévision nationale congolaise (RTNC), jugés stigmatisants à l’égard de la communauté tutsi.
Dans un communiqué officiel signé par le chef d’État-major général, le lieutenant-général Banza Mwilambwe Jules, l’armée congolaise indique avoir « tiré les conséquences » de cette sortie médiatique. L’État-Major général « condamne les propos tenus par le Général-major Ekenge Bomusa Efomi Sylvain, stigmatisant la communauté Tutsi », avant de préciser qu’il a été décidé de « la suspension du précité de ses fonctions de porte-parole des FARDC ».
Soucieuse de préserver la neutralité et la cohésion nationale, la hiérarchie militaire a tenu à se démarquer clairement de ces déclarations. « Les propos décriés ne reflètent en rien la position officielle de la République démocratique du Congo, ni celle du Commandant suprême des FARDC, Son Excellence Monsieur le Président de la République, encore moins celle du Gouvernement », souligne le communiqué, insistant sur le fait que ces propos sont « incompatibles avec les valeurs républicaines et les missions constitutionnelles dévolues aux FARDC ».
Dans un contexte sécuritaire toujours marqué par des tensions dans l’Est du pays, l’armée réaffirme sa ligne de conduite et sa mission régalienne. L’État-Major général assure ainsi que les FARDC demeurent pleinement engagées à « défendre et à protéger, avec discipline et professionnalisme, la souveraineté et l’intégrité territoriale de notre pays, ainsi que la sécurité de toutes les Congolaises et de tous les Congolais, sans aucune distinction, jusqu’au sacrifice suprême ».
Enfin, les autorités militaires lancent un appel solennel à la population congolaise. « En cette période cruciale, l’État-Major général appelle l’ensemble de la population à l’unité, à la cohésion et au rejet de tout discours de haine », exhortant les citoyens à soutenir les forces de défense « dans l’accomplissement de leur noble mission ».
Cette décision intervient dans un climat régional sensible, où les questions identitaires et sécuritaires restent particulièrement inflammables. En suspendant publiquement son porte-parole, l’État-Major des FARDC envoie un signal fort quant à sa volonté de préserver la discipline, la cohésion nationale et le respect des principes républicains au sein de l’institution militaire.
Dans un communiqué officiel signé par le chef d’État-major général, le lieutenant-général Banza Mwilambwe Jules, l’armée congolaise indique avoir « tiré les conséquences » de cette sortie médiatique. L’État-Major général « condamne les propos tenus par le Général-major Ekenge Bomusa Efomi Sylvain, stigmatisant la communauté Tutsi », avant de préciser qu’il a été décidé de « la suspension du précité de ses fonctions de porte-parole des FARDC ».
Soucieuse de préserver la neutralité et la cohésion nationale, la hiérarchie militaire a tenu à se démarquer clairement de ces déclarations. « Les propos décriés ne reflètent en rien la position officielle de la République démocratique du Congo, ni celle du Commandant suprême des FARDC, Son Excellence Monsieur le Président de la République, encore moins celle du Gouvernement », souligne le communiqué, insistant sur le fait que ces propos sont « incompatibles avec les valeurs républicaines et les missions constitutionnelles dévolues aux FARDC ».
Dans un contexte sécuritaire toujours marqué par des tensions dans l’Est du pays, l’armée réaffirme sa ligne de conduite et sa mission régalienne. L’État-Major général assure ainsi que les FARDC demeurent pleinement engagées à « défendre et à protéger, avec discipline et professionnalisme, la souveraineté et l’intégrité territoriale de notre pays, ainsi que la sécurité de toutes les Congolaises et de tous les Congolais, sans aucune distinction, jusqu’au sacrifice suprême ».
Enfin, les autorités militaires lancent un appel solennel à la population congolaise. « En cette période cruciale, l’État-Major général appelle l’ensemble de la population à l’unité, à la cohésion et au rejet de tout discours de haine », exhortant les citoyens à soutenir les forces de défense « dans l’accomplissement de leur noble mission ».
Cette décision intervient dans un climat régional sensible, où les questions identitaires et sécuritaires restent particulièrement inflammables. En suspendant publiquement son porte-parole, l’État-Major des FARDC envoie un signal fort quant à sa volonté de préserver la discipline, la cohésion nationale et le respect des principes républicains au sein de l’institution militaire.

