La Division spéciale de lutte contre la cybercriminalité (DSC) vient de frapper un grand coup. Après des semaines de surveillance du cyberespace, ses enquêteurs ont mis à nu un réseau tentaculaire, parfaitement structuré, qui exploitait un site pornographique et plusieurs groupes privés Telegram pour diffuser des contenus explicites et organiser de véritables prestations sexuelles tarifées en ligne.
D’après la DSC, le dispositif reposait sur un site spécialisé dans la diffusion de vidéos pornographiques, alimenté jour et nuit, ainsi que sur des groupes privés servant de vitrines et de salles de négociation entre prestataires et clients. Aux commandes : un administrateur opérant sous pseudonyme, installé à l’étranger, qui tirait les ficelles d’un marché parallèle du sexe numérique.
Lors de l’exploitation des supports numériques, les enquêteurs ont découvert 2 148 contenus illicites — vidéos et images montrant des personnes identifiables. Une archive tentaculaire, diffusée à grande échelle via les plateformes du réseau, révélant l’ampleur du système.
Les investigations ont permis d’identifier trois individus impliqués, immédiatement interpellés.
Selon la DSC, certaines des personnes arrêtées produisaient et transmettaient volontairement leurs propres vidéos pornographiques, ensuite confiées à l’administrateur, chargé de les diffuser et d’organiser les rendez-vous tarifés.
Le réseau fonctionnait comme une véritable entreprise clandestine. Les prestations se négociaient directement en ligne, l’administrateur prélevant 25 % sur chaque transaction. Les tarifs étaient clairement établis : 20 000 francs CFA pour 1 heure, 100 000 francs CFA pour une nuitée, avec des paiements effectués via des services de mobile money. À l’issue des premières auditions, les trois mis en cause ont été déférés au Tribunal de Grande Instance Hors Classe de Dakar. Mais l’enquête est loin d’être close : la DSC poursuit ses investigations pour démanteler toutes les ramifications d’un réseau tentaculaire, actif sur plusieurs plateformes numériques et encore loin d’avoir livré tous ses secrets.
D’après la DSC, le dispositif reposait sur un site spécialisé dans la diffusion de vidéos pornographiques, alimenté jour et nuit, ainsi que sur des groupes privés servant de vitrines et de salles de négociation entre prestataires et clients. Aux commandes : un administrateur opérant sous pseudonyme, installé à l’étranger, qui tirait les ficelles d’un marché parallèle du sexe numérique.
Lors de l’exploitation des supports numériques, les enquêteurs ont découvert 2 148 contenus illicites — vidéos et images montrant des personnes identifiables. Une archive tentaculaire, diffusée à grande échelle via les plateformes du réseau, révélant l’ampleur du système.
Les investigations ont permis d’identifier trois individus impliqués, immédiatement interpellés.
Selon la DSC, certaines des personnes arrêtées produisaient et transmettaient volontairement leurs propres vidéos pornographiques, ensuite confiées à l’administrateur, chargé de les diffuser et d’organiser les rendez-vous tarifés.
Le réseau fonctionnait comme une véritable entreprise clandestine. Les prestations se négociaient directement en ligne, l’administrateur prélevant 25 % sur chaque transaction. Les tarifs étaient clairement établis : 20 000 francs CFA pour 1 heure, 100 000 francs CFA pour une nuitée, avec des paiements effectués via des services de mobile money. À l’issue des premières auditions, les trois mis en cause ont été déférés au Tribunal de Grande Instance Hors Classe de Dakar. Mais l’enquête est loin d’être close : la DSC poursuit ses investigations pour démanteler toutes les ramifications d’un réseau tentaculaire, actif sur plusieurs plateformes numériques et encore loin d’avoir livré tous ses secrets.

