Recrutés en mars 2025 par le ministère de l’Industrie et du Commerce pour lutter contre la vie chère, les 1000 volontaires de la consommation dénoncent aujourd’hui un sentiment d’« abandon ». Dans un communiqué, ils pointent des promesses non tenues, l’absence de formation, de missions et de rémunération, malgré les engagements initiaux d’un salaire de 100.000 F Cfa.
Ils accusent en outre le ministère d’avoir utilisé « mensongèrement » leur image lors d’événements religieux comme le Magal et le Gamou, alors qu’ils n’ont jamais été déployés sur le terrain.
Les volontaires affirment avoir communiqué leurs coordonnées bancaires pour percevoir leurs salaires de juillet, mais aucun versement n’a été effectué. Face à cette situation, ils en appellent directement au Premier ministre Ousmane Sonko, lui demandant de « prendre ses responsabilités ».
Cette contestation met en lumière les limites du dispositif de régulation des prix, alors que seuls 200 contrôleurs économiques restent opérationnels face à près de 60.000 boutiques à surveiller. Les volontaires assurent rester « prêts à servir », mais réclament le respect de leurs droits et la transparence des démarches.
Ils accusent en outre le ministère d’avoir utilisé « mensongèrement » leur image lors d’événements religieux comme le Magal et le Gamou, alors qu’ils n’ont jamais été déployés sur le terrain.
Les volontaires affirment avoir communiqué leurs coordonnées bancaires pour percevoir leurs salaires de juillet, mais aucun versement n’a été effectué. Face à cette situation, ils en appellent directement au Premier ministre Ousmane Sonko, lui demandant de « prendre ses responsabilités ».
Cette contestation met en lumière les limites du dispositif de régulation des prix, alors que seuls 200 contrôleurs économiques restent opérationnels face à près de 60.000 boutiques à surveiller. Les volontaires assurent rester « prêts à servir », mais réclament le respect de leurs droits et la transparence des démarches.