« Si quelqu'un a l'intention de s'ingérer de l'extérieur dans ce qui se passe (en Ukraine, ndlr) et de créer des menaces inacceptables pour la Russie, ils doivent savoir que notre riposte (...) sera rapide et foudroyante », a déclaré Vladimir Poutine lors d'un discours devant le Parlement russe.
Selon lui, la Russie n'hésitera pas à utiliser ses armes les plus modernes. « Nous avons tous ces outils dont personne d'autre ne peut se vanter actuellement. Nous n'allons pas nous vanter: nous allons les utiliser s'il le faut. Et j'aimerais que tout le monde le sache », a souligné le président russe.
Lors de sa prise de parole, le chef de l'État russe a également réaffirmé que les objectifs fixés à son armée en Ukraine « seront remplis quoi qu’il arrive ».
Le chinois Dajiang (DJI) annonce qu'il suspend ses activités en Russie et en Ukraine. Cette décision intervient après une demande officielle de Kiev, qui reproche au fabricant chinois de drones de vendre des produits utilisés par l'armée russe à des fins militaires.
Le leader mondial des drones grand public marche sur des œufs dans sa communication. Cette décision n'est « pas liée aux sanctions occidentales », s'est empressé d'affirmer, dans un communiqué, le porte-parole de l'entreprise basée à Shenzhen. Une manière de dégonfler les susceptibilités des nationalistes en Chine, grands défenseurs de l'alliance sino-russe.
La Russie a annoncé mercredi l'expulsion de huit diplomates japonais en représailles à une décision similaire de Tokyo récemment prise à l'encontre des diplomates russes en raison de l'offensive russe en Ukraine.
« Tokyo a pris un cap antirusse ouvertement hostile », a déclaré le ministère russe des Affaires étrangères dans un communiqué. Il accuse les autorités japonaises d'inciter à « une hystérie antirusse » dans leur pays, dont « l'apothéose a été l'expulsion de huit diplomates russes » début avril. Et « compte tenu du principe de réciprocité, la partie russe a demandé que huit collaborateurs diplomatiques japonais quittent notre pays d'ici au 10 mai », précise le ministère.
Selon lui, la Russie n'hésitera pas à utiliser ses armes les plus modernes. « Nous avons tous ces outils dont personne d'autre ne peut se vanter actuellement. Nous n'allons pas nous vanter: nous allons les utiliser s'il le faut. Et j'aimerais que tout le monde le sache », a souligné le président russe.
Lors de sa prise de parole, le chef de l'État russe a également réaffirmé que les objectifs fixés à son armée en Ukraine « seront remplis quoi qu’il arrive ».
Le chinois Dajiang (DJI) annonce qu'il suspend ses activités en Russie et en Ukraine. Cette décision intervient après une demande officielle de Kiev, qui reproche au fabricant chinois de drones de vendre des produits utilisés par l'armée russe à des fins militaires.
Le leader mondial des drones grand public marche sur des œufs dans sa communication. Cette décision n'est « pas liée aux sanctions occidentales », s'est empressé d'affirmer, dans un communiqué, le porte-parole de l'entreprise basée à Shenzhen. Une manière de dégonfler les susceptibilités des nationalistes en Chine, grands défenseurs de l'alliance sino-russe.
La Russie a annoncé mercredi l'expulsion de huit diplomates japonais en représailles à une décision similaire de Tokyo récemment prise à l'encontre des diplomates russes en raison de l'offensive russe en Ukraine.
« Tokyo a pris un cap antirusse ouvertement hostile », a déclaré le ministère russe des Affaires étrangères dans un communiqué. Il accuse les autorités japonaises d'inciter à « une hystérie antirusse » dans leur pays, dont « l'apothéose a été l'expulsion de huit diplomates russes » début avril. Et « compte tenu du principe de réciprocité, la partie russe a demandé que huit collaborateurs diplomatiques japonais quittent notre pays d'ici au 10 mai », précise le ministère.