En Russie, le président Vladimir Poutine s'est exprimé jeudi 13 mars sur la possibilité d'un cessez-le-feu de 30 jours en Ukraine. La Russie se dit « pour, mais il y a des nuances », et le dirigeant russe estime que la trêve doit mener à une « paix durable ».
Le président russe affirme que les « prochaines étapes » vers une trêve dépendront de l'avancée russe dans la région de Koursk. « En fonction de l'évolution de la situation sur le terrain, nous nous mettrons d'accord sur les prochaines étapes pour mettre fin au conflit et parvenir à un accord acceptable pour tous », a-t-il déclaré au cours d'une conférence de presse au Kremlin.
Parmi les réserves exprimées, Vladimir Poutine a cité les incertitudes liées à l’évolution « rapide » de la situation dans la région russe de Koursk (ouest) et ailleurs, ainsi que les interrogations du Kremlin sur les modalités de contrôle d’une trêve alors que « le front s’étire sur 2 000 kilomètres ».
Le président russe a déclaré que son pays était « pour » une trêve en Ukraine proposée par Washington, mais qu’il y avait des « nuances » et des « questions importantes » à régler.
« Nous sommes pour, mais il y a des nuances », a-t-il affirmé lors d’une conférence de presse au Kremlin. « Comment garantir qu’une telle situation ne se reproduise pas ? Comment le contrôle sera-t-il organisé ? (...) Ce sont des questions sérieuses », a-t-il ajouté. « Nous devons en parler avec nos partenaires américains, peut-être appeler le président (Donald) Trump », a-t-il poursuivi.
Vladimir Poutine a également affirmé que les troupes russes continuaient d'avancer sur quasiment l'ensemble du front en Ukraine, alors qu'une délégation américaine est arrivée en fin de matinée à Moscou pour tenter de convaincre la Russie d'accepter la trêve.
« Les troupes russes progressent dans pratiquement tous les secteurs de la ligne de contact », a-t-il déclaré.
Le président russe a insisté sur le fait que toute trêve en Ukraine devait mener à une paix « durable » et non à une simple pause dans les hostilités, avec un processus de règlement du conflit qui s'attaque aux « causes profondes ».
« Nous sommes d'accord avec les propositions visant à mettre fin aux hostilités, mais nous partons du principe que cette trêve doit conduire à une paix durable et s'attaquer aux causes profondes de cette crise », a-t-il déclaré, selon des propos retransmis à la télévision.
Le président russe affirme que les « prochaines étapes » vers une trêve dépendront de l'avancée russe dans la région de Koursk. « En fonction de l'évolution de la situation sur le terrain, nous nous mettrons d'accord sur les prochaines étapes pour mettre fin au conflit et parvenir à un accord acceptable pour tous », a-t-il déclaré au cours d'une conférence de presse au Kremlin.
Parmi les réserves exprimées, Vladimir Poutine a cité les incertitudes liées à l’évolution « rapide » de la situation dans la région russe de Koursk (ouest) et ailleurs, ainsi que les interrogations du Kremlin sur les modalités de contrôle d’une trêve alors que « le front s’étire sur 2 000 kilomètres ».
Le président russe a déclaré que son pays était « pour » une trêve en Ukraine proposée par Washington, mais qu’il y avait des « nuances » et des « questions importantes » à régler.
« Nous sommes pour, mais il y a des nuances », a-t-il affirmé lors d’une conférence de presse au Kremlin. « Comment garantir qu’une telle situation ne se reproduise pas ? Comment le contrôle sera-t-il organisé ? (...) Ce sont des questions sérieuses », a-t-il ajouté. « Nous devons en parler avec nos partenaires américains, peut-être appeler le président (Donald) Trump », a-t-il poursuivi.
Vladimir Poutine a également affirmé que les troupes russes continuaient d'avancer sur quasiment l'ensemble du front en Ukraine, alors qu'une délégation américaine est arrivée en fin de matinée à Moscou pour tenter de convaincre la Russie d'accepter la trêve.
« Les troupes russes progressent dans pratiquement tous les secteurs de la ligne de contact », a-t-il déclaré.
Le président russe a insisté sur le fait que toute trêve en Ukraine devait mener à une paix « durable » et non à une simple pause dans les hostilités, avec un processus de règlement du conflit qui s'attaque aux « causes profondes ».
« Nous sommes d'accord avec les propositions visant à mettre fin aux hostilités, mais nous partons du principe que cette trêve doit conduire à une paix durable et s'attaquer aux causes profondes de cette crise », a-t-il déclaré, selon des propos retransmis à la télévision.