D’après les informations de Les Échos, un mouvement de contestation inédit a éclaté ce week-end au sein de la base militante de Pastef, provoquant une hémorragie impressionnante d’abonnés sur les réseaux sociaux officiels du président Bassirou Diomaye Faye, de la Présidence de la République et de la seconde Première dame, Absa Faye.
Le journal rapporte que le phénomène, longtemps perceptible en sourdine, a explosé samedi avec une brutalité inattendue. Plusieurs milliers de sympathisants se sont désabonnés en quelques heures, certains observateurs évoquant plus de 25 000 départs en un temps record. Dans les groupes militants, les captures d’écran se succèdent, alimentant un climat de stupeur et de malaise profond.
Selon les mêmes sources, c’est la première fois depuis l’accession au pouvoir du duo Diomaye–Sonko qu’une telle rupture numérique se produit, au point que l’entourage présidentiel reconnaîtrait en privé « vivre l’un des épisodes les plus éprouvants » de cette jeune présidence. L’onde de contestation touche directement le cœur du parti : ses propres soutiens, ceux-là mêmes qui avaient porté Pastef au sommet de l’État.
Les raisons exactes de cet acte collectif restent difficiles à cerner. Les Échos note toutefois que plusieurs militants expriment un sentiment de frustration lié à la stratégie de communication présidentielle, ainsi qu’à « l’exposition publique » accordée à Absa Faye, perçue par certains comme mal calibrée ou excessive. Une accumulation d’incompréhensions qui semble avoir cristallisé le malaise.
Le journal rapporte que le phénomène, longtemps perceptible en sourdine, a explosé samedi avec une brutalité inattendue. Plusieurs milliers de sympathisants se sont désabonnés en quelques heures, certains observateurs évoquant plus de 25 000 départs en un temps record. Dans les groupes militants, les captures d’écran se succèdent, alimentant un climat de stupeur et de malaise profond.
Selon les mêmes sources, c’est la première fois depuis l’accession au pouvoir du duo Diomaye–Sonko qu’une telle rupture numérique se produit, au point que l’entourage présidentiel reconnaîtrait en privé « vivre l’un des épisodes les plus éprouvants » de cette jeune présidence. L’onde de contestation touche directement le cœur du parti : ses propres soutiens, ceux-là mêmes qui avaient porté Pastef au sommet de l’État.
Les raisons exactes de cet acte collectif restent difficiles à cerner. Les Échos note toutefois que plusieurs militants expriment un sentiment de frustration lié à la stratégie de communication présidentielle, ainsi qu’à « l’exposition publique » accordée à Absa Faye, perçue par certains comme mal calibrée ou excessive. Une accumulation d’incompréhensions qui semble avoir cristallisé le malaise.