En pleine visite économique en Turquie, le Premier ministre sénégalais Ousmane Sonko a livré un constat sans détour sur le retard économique de l’Afrique de l’Ouest par rapport à d’autres pays.
Comparant les performances de la Turquie 700 000 km², 85 millions d’habitants, un PIB de 1 300 milliards de dollars à celles de la CEDEAO 511 millions de km², 411 millions d’habitants, un PIB cumulé de seulement 400 milliards de dollars , il s’est interrogé sur les causes de cet écart.
« Avec toutes ces richesses, ces ressources naturelles et une population très jeune, pourquoi ne pouvons-nous pas nous développer ? », a lancé le chef du gouvernement, estimant que la réponse tient en un mot : le travail.
Sonko a aussi cité l’exemple du Qatar, « plus petit qu’une région du Sénégal », mais dont le PIB dépasse largement celui de tous les pays de la CEDEAO réunis. Pour lui, l’heure est à l’autocritique et à l’action : « Il faut avoir confiance en nous-mêmes et croire en nos propres capacités pour que notre pays prenne un nouvel élan. »
Comparant les performances de la Turquie 700 000 km², 85 millions d’habitants, un PIB de 1 300 milliards de dollars à celles de la CEDEAO 511 millions de km², 411 millions d’habitants, un PIB cumulé de seulement 400 milliards de dollars , il s’est interrogé sur les causes de cet écart.
« Avec toutes ces richesses, ces ressources naturelles et une population très jeune, pourquoi ne pouvons-nous pas nous développer ? », a lancé le chef du gouvernement, estimant que la réponse tient en un mot : le travail.
Sonko a aussi cité l’exemple du Qatar, « plus petit qu’une région du Sénégal », mais dont le PIB dépasse largement celui de tous les pays de la CEDEAO réunis. Pour lui, l’heure est à l’autocritique et à l’action : « Il faut avoir confiance en nous-mêmes et croire en nos propres capacités pour que notre pays prenne un nouvel élan. »