
L'ancien député de l'APR, Moustapha Diakhaté a annoncé ce lundi avoir reçu une convocation officielle de la Division des investigations criminelles (DIC), pour être entendu ce mardi 10 juin à 10 heures, dans le cadre de déclarations qu’il a tenues dans la presse.
Ce nouvel épisode judiciaire s’inscrit, selon lui, dans une dynamique de répression croissante des libertés d’expression et d’opinion au Sénégal depuis l’arrivée au pouvoir du parti Pastef. « Avec l’arrivée au pouvoir de Pastef, le premier parti fasciste africain, notre pays vit depuis 13 mois une véritable politique d’épuration », accuse-t-il. Il estime que l’objectif poursuivi par les autorités est de « faire disparaître toute vraie opposition, toute presse libre, tout État de droit et toute démocratie pluraliste ».
Poursuivant son propos, il compare la situation sénégalaise actuelle aux heures sombres de l’histoire européenne : « Il n’a fallu que six mois à Adolf Hitler pour anéantir toute démocratie en Allemagne », prévient-il, en citant notamment Angela Merkel et Noam Chomsky pour soutenir son alerte contre ce qu’il qualifie de « projet fasciste » porté par le parti présidentiel.
Fidèle à sa ligne de résistance, Moustapha Diakhaté affirme rester déterminé : « 1000 convocations, 1000 gardes à vue, 1000 retours de parquets, 1000 mandats de dépôts, 1000 condamnations ne m’empêcheront de prendre ma part du combat contre le pouvoir fasciste », écrit-il, appelant « chaque démocrate » à prendre ses responsabilités. Il conclut sa déclaration sur une note solennelle : « Bu dee jotee, ku daw ñaaw ! Vive la République ! Dieu bénisse le Sénégal ! »
Ce nouvel épisode judiciaire s’inscrit, selon lui, dans une dynamique de répression croissante des libertés d’expression et d’opinion au Sénégal depuis l’arrivée au pouvoir du parti Pastef. « Avec l’arrivée au pouvoir de Pastef, le premier parti fasciste africain, notre pays vit depuis 13 mois une véritable politique d’épuration », accuse-t-il. Il estime que l’objectif poursuivi par les autorités est de « faire disparaître toute vraie opposition, toute presse libre, tout État de droit et toute démocratie pluraliste ».
Poursuivant son propos, il compare la situation sénégalaise actuelle aux heures sombres de l’histoire européenne : « Il n’a fallu que six mois à Adolf Hitler pour anéantir toute démocratie en Allemagne », prévient-il, en citant notamment Angela Merkel et Noam Chomsky pour soutenir son alerte contre ce qu’il qualifie de « projet fasciste » porté par le parti présidentiel.
Fidèle à sa ligne de résistance, Moustapha Diakhaté affirme rester déterminé : « 1000 convocations, 1000 gardes à vue, 1000 retours de parquets, 1000 mandats de dépôts, 1000 condamnations ne m’empêcheront de prendre ma part du combat contre le pouvoir fasciste », écrit-il, appelant « chaque démocrate » à prendre ses responsabilités. Il conclut sa déclaration sur une note solennelle : « Bu dee jotee, ku daw ñaaw ! Vive la République ! Dieu bénisse le Sénégal ! »