Après une nouvelle nuit de bombardements, les tensions entre Israël et l’Iran ont franchi un nouveau seuil critique mardi, sans le moindre signe d’apaisement. Les deux puissances ennemies ont échangé des frappes directes, dans un contexte explosif marqué par des menaces explicites d’attaque sur les grandes villes israéliennes.
L’armée israélienne a annoncé avoir neutralisé un haut responsable des Gardiens de la Révolution iranienne, Ali Shadmani, lors de frappes ciblées menées dans la nuit. La mort de ce commandant, considéré comme une figure centrale dans l’organisation militaire de la République islamique, risque d’exacerber encore davantage la réponse de Téhéran.
De son côté, l'Iran affirme avoir frappé deux centres de renseignement israéliens, sans fournir davantage de détails sur leur emplacement exact ni sur les pertes infligées.
Menace directe contre les civils israéliens
Dans une rare déclaration télévisée, le chef d’état-major des forces armées iraniennes, Abdolrahim Mousavi, a lancé un avertissement solennel :
« Les résidents des territoires occupés, en particulier Tel-Aviv et Haïfa, sont fortement encouragés à quitter ces zones pour leur propre sécurité », a-t-il déclaré, évoquant des « opérations punitives imminentes ».
Cette déclaration sonne comme une menace directe envers la population civile israélienne, accentuant la gravité du conflit.
Missiles iraniens sur des bases aériennes israéliennes
Toujours mardi, les Gardiens de la Révolution ont annoncé avoir mené une vaste attaque de missiles contre les bases aériennes israéliennes identifiées comme points de départ des avions ayant bombardé l’Iran.
Dans un communiqué diffusé à la télévision d’État, les Gardiens affirment :
« Une opération de missiles à grande échelle a été menée contre les bases aériennes de l’armée du régime sioniste, d’où les avions de combat du régime décollent vers notre cher pays ».
Un contexte de plus en plus idéologique
L’ayatollah Ali Khamenei, guide suprême de la République islamique depuis 1989, reste en première ligne de cette confrontation. Dans les médias officiels, il est présenté comme ayant surmonté “tous les complots occidentaux”, dans lesquels Israël est désigné comme “le pion central”.
Alors que l’offensive verbale s’accompagne désormais d’opérations militaires à grande échelle, les appels à la désescalade se font rares. La communauté internationale observe avec inquiétude l’évolution de cette confrontation, qui pourrait bientôt dépasser le cadre bilatéral et embraser toute la région. Aucune médiation officielle n’a été annoncée à ce stade.
L’armée israélienne a annoncé avoir neutralisé un haut responsable des Gardiens de la Révolution iranienne, Ali Shadmani, lors de frappes ciblées menées dans la nuit. La mort de ce commandant, considéré comme une figure centrale dans l’organisation militaire de la République islamique, risque d’exacerber encore davantage la réponse de Téhéran.
De son côté, l'Iran affirme avoir frappé deux centres de renseignement israéliens, sans fournir davantage de détails sur leur emplacement exact ni sur les pertes infligées.
Menace directe contre les civils israéliens
Dans une rare déclaration télévisée, le chef d’état-major des forces armées iraniennes, Abdolrahim Mousavi, a lancé un avertissement solennel :
« Les résidents des territoires occupés, en particulier Tel-Aviv et Haïfa, sont fortement encouragés à quitter ces zones pour leur propre sécurité », a-t-il déclaré, évoquant des « opérations punitives imminentes ».
Cette déclaration sonne comme une menace directe envers la population civile israélienne, accentuant la gravité du conflit.
Missiles iraniens sur des bases aériennes israéliennes
Toujours mardi, les Gardiens de la Révolution ont annoncé avoir mené une vaste attaque de missiles contre les bases aériennes israéliennes identifiées comme points de départ des avions ayant bombardé l’Iran.
Dans un communiqué diffusé à la télévision d’État, les Gardiens affirment :
« Une opération de missiles à grande échelle a été menée contre les bases aériennes de l’armée du régime sioniste, d’où les avions de combat du régime décollent vers notre cher pays ».
Un contexte de plus en plus idéologique
L’ayatollah Ali Khamenei, guide suprême de la République islamique depuis 1989, reste en première ligne de cette confrontation. Dans les médias officiels, il est présenté comme ayant surmonté “tous les complots occidentaux”, dans lesquels Israël est désigné comme “le pion central”.
Alors que l’offensive verbale s’accompagne désormais d’opérations militaires à grande échelle, les appels à la désescalade se font rares. La communauté internationale observe avec inquiétude l’évolution de cette confrontation, qui pourrait bientôt dépasser le cadre bilatéral et embraser toute la région. Aucune médiation officielle n’a été annoncée à ce stade.