Le président de l’Union des jeunes entrepreneurs du Sénégal (UJES), Mathieu Kadiona, a fait savoir hier qu’il est cependant impossible de se développer en laissant les femmes en seconde position. Selon lui, l’entreprenariat doit passer forcément par les jeunes afin que l’on puisse atteindre l’émergence tant souhaitée par les gouvernants. « L’État doit pousser les jeunes filles à s’engager dans le secteur et pousser le partenariat à réagir pour booster l’entreprenariat », a-t-il déclaré.
Avant d’ajouter que dans la mission de l’Union des jeunes entrepreneurs du Sénégal, il y a un objectif majeur qui est «de faire de l’entreprenariat le levier du développement». Même si nos États n’ont pas assez de moyens pour soutenir la totalité des projets et des actions entreprises par les jeunes, ce dernier de faire comprendre que «les filles qui deviendront les femmes de demain ne devraient pas se sentir marginaliser», sinon, précise-t-il: «On aura beau fourni des efforts dans le domaine il y aura toujours un soupçon de retard ». Et d’ajouter: «La réussite de l’entrepreneur dépend en premier lieu de lui, l’Etat peut servir d’accompagnant ».
Dans son réquisitoire toujours, le président de l’UJES a exhorté les autorité étatiques à aider les jeunes entrepreneurs à trouver du financement pour leurs projets. «L’argent du contribuable doit être remis à des jeunes capables de travailler et de rembourser pour permettre que le financement soit une scène et que tout le monde y accède ». Il s’exprimait hier lors d’une table ronde organisée par l’UJES à Dakar pour montrer l’impact du genre féminin dans l’économie du pays mais aussi et surtout veiller à la valorisation du leadership féminin.
Parlant des taux de remboursement élevés au niveau des Banques, ce dernier de faire savoir que «des structures comme le Fongip créées par l’Etat peuvent servir de début de solution», même si elles ne parviennent pas à donner une réponse aux jeunes parce que ne travaillant pas en parfaite collaboration avec la jeunesse. « L’UJES se veut donc une structure de mise en relation entre les jeunes et les établissements mis sur pieds par l’Etat pour combattre le chômage », dira-t-il. Faisant un mini bilan de l’organisation qu’il dirige Mathieu Kadiona a affirmé qu’au sein de la base de donnés, 1022 jeunes qui ont leurs projets et 633 jeunes entrepreneurs ont été enregistrés. «Parmi eux, 152 sont entrepreneurs agricoles et 206 dans les BTP entre autres, une mission d’impliquer toute la jeunesse sénégalaise est cependant fixé dans le cadre de notre plan d’action », a révélé M. Kadiona. Avant de poursuivre: «Nous avons aussi envisagé d’implanter des antennes dans toutes les localités et démarrer les travaux de renforcement de capacités parce qu’en effet il a un gap au niveau de la formation des jeunes que nous voulons rattraper », tout en lançant un appel aux jeunes pour les faire comprendre que l’entreprenariat est « la seule solution qui puisse répondre à la problématique du chômage du côté de cette couche».
«Le problème de l’emploi est du domaine d’une conjoncture mondiale et nous pouvons le régler au niveau local en s’inspirant des jeunes qui ont réussi dans ce domaine, mais aussi nous devons nous rapprocher du côté des structures mis sur pieds par l’Etat pour éradiquer le fléau », a-t-il conclu.
Avant d’ajouter que dans la mission de l’Union des jeunes entrepreneurs du Sénégal, il y a un objectif majeur qui est «de faire de l’entreprenariat le levier du développement». Même si nos États n’ont pas assez de moyens pour soutenir la totalité des projets et des actions entreprises par les jeunes, ce dernier de faire comprendre que «les filles qui deviendront les femmes de demain ne devraient pas se sentir marginaliser», sinon, précise-t-il: «On aura beau fourni des efforts dans le domaine il y aura toujours un soupçon de retard ». Et d’ajouter: «La réussite de l’entrepreneur dépend en premier lieu de lui, l’Etat peut servir d’accompagnant ».
Dans son réquisitoire toujours, le président de l’UJES a exhorté les autorité étatiques à aider les jeunes entrepreneurs à trouver du financement pour leurs projets. «L’argent du contribuable doit être remis à des jeunes capables de travailler et de rembourser pour permettre que le financement soit une scène et que tout le monde y accède ». Il s’exprimait hier lors d’une table ronde organisée par l’UJES à Dakar pour montrer l’impact du genre féminin dans l’économie du pays mais aussi et surtout veiller à la valorisation du leadership féminin.
Parlant des taux de remboursement élevés au niveau des Banques, ce dernier de faire savoir que «des structures comme le Fongip créées par l’Etat peuvent servir de début de solution», même si elles ne parviennent pas à donner une réponse aux jeunes parce que ne travaillant pas en parfaite collaboration avec la jeunesse. « L’UJES se veut donc une structure de mise en relation entre les jeunes et les établissements mis sur pieds par l’Etat pour combattre le chômage », dira-t-il. Faisant un mini bilan de l’organisation qu’il dirige Mathieu Kadiona a affirmé qu’au sein de la base de donnés, 1022 jeunes qui ont leurs projets et 633 jeunes entrepreneurs ont été enregistrés. «Parmi eux, 152 sont entrepreneurs agricoles et 206 dans les BTP entre autres, une mission d’impliquer toute la jeunesse sénégalaise est cependant fixé dans le cadre de notre plan d’action », a révélé M. Kadiona. Avant de poursuivre: «Nous avons aussi envisagé d’implanter des antennes dans toutes les localités et démarrer les travaux de renforcement de capacités parce qu’en effet il a un gap au niveau de la formation des jeunes que nous voulons rattraper », tout en lançant un appel aux jeunes pour les faire comprendre que l’entreprenariat est « la seule solution qui puisse répondre à la problématique du chômage du côté de cette couche».
«Le problème de l’emploi est du domaine d’une conjoncture mondiale et nous pouvons le régler au niveau local en s’inspirant des jeunes qui ont réussi dans ce domaine, mais aussi nous devons nous rapprocher du côté des structures mis sur pieds par l’Etat pour éradiquer le fléau », a-t-il conclu.

