À l’approche de son Dîner de Gala, prévu le mercredi 24 décembre 2025 au CDEPS de Yeumbeul, l’Amicale des Élèves et Étudiants Originaires de Mandegane (AEEOM) lance un appel appuyé à la participation et à la contribution de l’ensemble de la communauté. L’objectif est clair : mobiliser des ressources pour financer les activités sociales menées au profit des populations de Mandégane et des localités environnantes.
Selon le Secrétaire général de l’amicale, Ousmane Bodian, ce Dîner de Gala dépasse le cadre festif. Il constitue avant tout « un levier de mobilisation solidaire pour soutenir durablement nos actions sociales ». À travers cette initiative, l’AEEOM entend renforcer ses capacités d’intervention dans des domaines essentiels tels que la santé, l’éducation, la solidarité communautaire et l’accompagnement de la jeunesse.
Créée en 1985, l’amicale s’est illustrée par de nombreuses actions à fort impact social, dont la Caravane Médicale, les activités de renforcement de capacités, les journées d’intégration des étudiants et les événements culturels fédérateurs. Autant de programmes qui, selon ses responsables, nécessitent aujourd’hui un soutien financier accru pour être consolidés et relancés.
« Chaque participation compte. Qu’elle soit financière, matérielle ou logistique, elle contribue directement au bien-être de notre communauté », insiste Ousmane Bodian. L’AEEOM invite ainsi les anciens, les étudiants, les partenaires, les élus, les bonnes volontés et les sympathisants à prendre part au Dîner de Gala ou à y contribuer, même à distance.
À travers cet appel, l’amicale réaffirme sa conviction que l’engagement collectif demeure la clé du développement social de Mandégane.
Au-delà de sa dimension festive et intellectuelle, le Dîner de Gala servira également de cadre de mobilisation pour la relance de la Caravane Médicale, suspendue depuis 2019. « La Caravane Médicale est née d’un constat clair : l’accès aux soins reste encore difficile pour une partie de notre population », explique le Secrétaire général.
Entre 2011 et 2019, chaque édition a permis de consulter entre 300 et 500 patients, d’identifier de nombreuses pathologies chroniques et de mener des actions de prévention. « Le bilan global montre un impact sanitaire majeur pour les populations concernées », se félicite-t-il.

