L’Union des Routiers du Sénégal (URS) a exprimé, ce vendredi, sa vive inquiétude suite à l’enlèvement de six compatriotes sénégalais au Mali par des groupes djihadistes. Tous engagés dans le secteur du transport transfrontalier, ces travailleurs jouaient un rôle clé dans les échanges commerciaux entre le Sénégal et ses pays voisins.
Dans un communiqué, l’URS déplore cette attaque, qui constitue, selon elle, « une atteinte grave à la sécurité de nos compatriotes et à celle de leurs familles », tout en menaçant « la libre circulation et le commerce dans la sous-région ». L’organisation appelle les autorités sénégalaises et maliennes, ainsi que les instances régionales et internationales, « à tout mettre en œuvre pour obtenir leur libération dans les plus brefs délais ».
L’Union des Routiers rappelle également que « les acteurs routiers sont en première ligne de l’intégration africaine et qu’ils ne doivent en aucun cas être pris pour cibles dans ces conflits ». Elle assure suivre de près la situation et promet de tenir l’opinion publique informée de tout développement.
Cet incident souligne une nouvelle fois les risques auxquels sont confrontés les travailleurs du transport dans certaines zones de la sous-région, en particulier face à la menace djihadiste qui continue de sévir dans plusieurs pays voisins.
Dans un communiqué, l’URS déplore cette attaque, qui constitue, selon elle, « une atteinte grave à la sécurité de nos compatriotes et à celle de leurs familles », tout en menaçant « la libre circulation et le commerce dans la sous-région ». L’organisation appelle les autorités sénégalaises et maliennes, ainsi que les instances régionales et internationales, « à tout mettre en œuvre pour obtenir leur libération dans les plus brefs délais ».
L’Union des Routiers rappelle également que « les acteurs routiers sont en première ligne de l’intégration africaine et qu’ils ne doivent en aucun cas être pris pour cibles dans ces conflits ». Elle assure suivre de près la situation et promet de tenir l’opinion publique informée de tout développement.
Cet incident souligne une nouvelle fois les risques auxquels sont confrontés les travailleurs du transport dans certaines zones de la sous-région, en particulier face à la menace djihadiste qui continue de sévir dans plusieurs pays voisins.