« J’ai pardonné à tous ceux qui m’ont offensé parce que le pardon fait partie des valeurs qu’un musulman doit cultiver », a-t-il dit en s’entretenant avec des journalistes, peu après avoir participé à la prière de l’Aïd-el-kébir à la grande mosquée de Dakar.
Plusieurs personnes faisant l’objet de poursuites pour « offense au chef de l’Etat » ont été dernièrement libérées, parmi lesquelles la chanteuse Amy Collé Dieng, qui avait proféré des insultes à l’endroit du président Sall via les réseaux sociaux.
Quatre personnes, dont une journaliste, avaient été également placées en détention provisoire après avoir diffusé un photomontage mettant en scène un homme nu avec le visage de Macky Sall. Elles ont aussi été libérées.
De même, Assane Diouf, un citoyen sénégalais basé aux Etats-Unis, s’était fait remarquer par des attaques verbales obscènes contre des personnalités sénégalaises via des enregistrements vidéo, avant d’être rapatrié à Dakar.
A son arrivée, il a été auditionné par la police sénégalaise avant d’être relâché.
Macky Sall assure être capable de pardonner toutes les offenses, tant qu’elles visent sa personne. « Il ne faut que l’on confonde la personne du président de la République et l’Etat ou les lois », a-t-il souligné.
Plusieurs personnes faisant l’objet de poursuites pour « offense au chef de l’Etat » ont été dernièrement libérées, parmi lesquelles la chanteuse Amy Collé Dieng, qui avait proféré des insultes à l’endroit du président Sall via les réseaux sociaux.
Quatre personnes, dont une journaliste, avaient été également placées en détention provisoire après avoir diffusé un photomontage mettant en scène un homme nu avec le visage de Macky Sall. Elles ont aussi été libérées.
De même, Assane Diouf, un citoyen sénégalais basé aux Etats-Unis, s’était fait remarquer par des attaques verbales obscènes contre des personnalités sénégalaises via des enregistrements vidéo, avant d’être rapatrié à Dakar.
A son arrivée, il a été auditionné par la police sénégalaise avant d’être relâché.
Macky Sall assure être capable de pardonner toutes les offenses, tant qu’elles visent sa personne. « Il ne faut que l’on confonde la personne du président de la République et l’Etat ou les lois », a-t-il souligné.