En présence des centrales syndicales, des autorités religieuses et coutumières, des partis politiques et des mouvements de la société civile, le président de la république Macky Sall a lancé officiellement le dialogue national.
Dans ses propos introductifs, le chef de l’Etat devant toutes ces forces politiques, économiques, sociales et religieuses, indique que cette rencontre n’est pas une première, car, « le Diisso» fait partie de l’unité nationale. « La vie nationale ne peut être seul détenir par les antagonismes politiques. Mais elle va au delà. Le dialogue politique a permis la réforme du code électoral, le dialogue social qui a donné naissance au haut conseil du dialogue national et tant d’autres résultats » précise le chef de l’Etat.
La question de l’élection présidentielle de février 2024 est ainsi soulignée par le chef de l’Etat qui veut rassurer les Sénégalais. En effet, Macky Sall, qui se dit confiant des résultats qui peuvent découler de ces concertations, estime que le besoin de concertation est bien pressant car il y’a plusieurs questions entre autres, l’échéance électorale de février 2024 qui s’impose comme sujet de dialogue. « J’engagerai le gouvernement à organiser un scrutin démocratique, transparente, libre et paisible » a soutenu le président devant l’assistance à la salle des banquets du palais de la République.
Dans ses propos introductifs, le chef de l’Etat devant toutes ces forces politiques, économiques, sociales et religieuses, indique que cette rencontre n’est pas une première, car, « le Diisso» fait partie de l’unité nationale. « La vie nationale ne peut être seul détenir par les antagonismes politiques. Mais elle va au delà. Le dialogue politique a permis la réforme du code électoral, le dialogue social qui a donné naissance au haut conseil du dialogue national et tant d’autres résultats » précise le chef de l’Etat.
La question de l’élection présidentielle de février 2024 est ainsi soulignée par le chef de l’Etat qui veut rassurer les Sénégalais. En effet, Macky Sall, qui se dit confiant des résultats qui peuvent découler de ces concertations, estime que le besoin de concertation est bien pressant car il y’a plusieurs questions entre autres, l’échéance électorale de février 2024 qui s’impose comme sujet de dialogue. « J’engagerai le gouvernement à organiser un scrutin démocratique, transparente, libre et paisible » a soutenu le président devant l’assistance à la salle des banquets du palais de la République.